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PA ELV : Production Animale Elevage |
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Piloter les prairies avec précision
L'INRA de Toulouse a mis au point ces dernières années des outils de diagnostic pour les prairies. En 1999, ils ont été utilisés dans de nombreuses exploitations et il est aujourd'hui possible de tirer de ces analyses, mesures et observations des enseignements intéressants pour la conduite des prairies. Trois exemples d'éleveurs suivis en appui technique, en bovins lait, bovins viande et ovins lait, montrent tout le parti que l'on peut tirer d'un pilotage fin du pâturage au printemps et d'une bonne valorisation de l'herbe, notamment en s'appuyant sur la mesure des volumes d'herbe d'avance.
Plus de protéine microbienne grâce aux PAIN
En plus de l'ancienne unité PAI (= protéines non dégradées dans la panse + protéines microbiennes issues de la matière organique fermentescible), une nouvelle unité a été introduite à l'automne 1999 pour affiner la planification de l'alimentation protéique des ruminants, l'unité PAIN (=protéines non dégradées dans la panse + protéines microbiennes issues de la matière azotée dégradable dans la panse). Elle permet de mieux tenir compte de l'alimentation des microorganismes des préestomacs.
Le pois, principale source de protéines pour les poulets bio
Une des principales contraintes de la production de volailles biologiques est l'alimentation. Outre l'obligation d'incorporer au moins 90 % de matières premières provenant de l'agriculture biologique, certains ingrédients sont interdits. D'une part, les filières de productions animales biologiques manquent de protéines issues de matières premières biologiques (l'offre ne couvrant pas 40 % de la demande en 1999) et, d'autre part, les sources de protéines sont peu nombreuses. Le pois est une source de protéines d'intérêt pour les élevages de poulets de chair biologiques et convient bien aux animaux à croissance lente utilisés en production biologique. Face au peu de références disponibles sur l'utilisation d'un taux élevé de pois dans l'alimentation de poulets biologiques, l'UNIP et l'ITAVI, en collaboration avec l'ITAB, ont mené un essai à la station expérimentale de l'UCAAB afin d'évaluer l'effet de régimes riches en pois sur la croissance des poulets de chair biologiques. Résultats et conclusions de l'étude.
De la poudre de lait bio pour l'élevage de jeunes animaux
Conformément à la réglementation bio REPAB-F, Biolait propose divers types de poudre de lait biologique pour l'élevage de jeunes mammifères. La présentation de la gamme Biolait s'accompagne d'un descriptif des plans d'allaitement pour veaux et chevreaux, préconisant l'utilisation de poudre de lait en remplacement ou en complément du lait entier. Quelques utilisations possibles sont décrites concrètement, abordant modalités de distribution, valeur nutritive et conseils.
Des poules "bio" pour compenser la baisse de revenu en céréales
Chez Alain Fleury, agriculteur à Plourhan (Côtes d'Armor), la création d'un atelier de 4 500 pondeuses "bio" vise à retrouver l'équilibre économique de son exploitation. Mais, son témoignage pose aussi la question de la rentabilité des futurs élevages "bio", dont la taille sera limitée à 3 000 poules par bâtiment.
Poulets de chair : l'explosion du bio à l'encontre des démarches qualité
Paradoxe apparant, qui demande une explication : comment l'avènement d'une réglementation européenne en élevage bio (REPAB) peut-il entraîner une baisse de qualité générale de la filière de qualité "volailles" ? Réponse : le caractère laxiste de cette nouvelle réglementation. En effet, aucune obligation de limiter le nombre de bâtiments, une surface maxi et un nombre de poulets par bandes supérieurs à ceux des labels rouges (!), voilà bien des raisons pour que les producteurs de label rouge desserrent progressivement les contraintes réglementaires... De l'eau au moulin, des éleveurs bios français qui demandent un durcissemnt du REPAB, avant son entrée en vigueur en août 2000.
Pour le troupeau allaitant : un super Border Collie
L'efficacité du Border Collie n'est pas à démontrer. C'est un excellent chien de troupeau, facile à dresser, soumis, rapide. Son regard extraordinaire en impose aux ovins comme aux bovins. Attention cependant, les vaches allaitantes exigent d'excellents chiens et un renouvellement plus rapide des chiens vite usés par ce type de troupeau.
Pratiques issues de 20 années d'expérience
Joseph Templier, producteur biologique depuis 1981, élève un troupeau de vaches laitières. Son objectif a toujours été d'utiliser toutes les possibilités d'alternatives pour résoudre les problèmes sanitaires qu'il a pu rencontrer et de n'utiliser l'allopathie qu'en dernier ressort. Une formation sur la maîtrise sanitaire en élevage bovin, mise en place par le réseau GAB avec la participation d'un vétérinaire homéopathe, a changé son comportement par rapport à l'animal. Pour lui, l'observation du comportement global de l'animal est primordial. Désormais, grâce aux techniques d'observation qu'il a acquises, il peut très vite diagnostiquer correctement et réaliser des traitements alternatifs avec succès. Témoignage et méthodes issues de son expérience.
Prévention et Homéopathie vétérinaire - Conduite d'un troupeau ovins et caprins
Dans quelles situations et comment utiliser Arnica Montana, Hepar Sulfur, Belladonna, etc. ? Quelques conseils du Docteur Polis, vétérinaire homéopathe utilisant les dilutions korsakoviennes.
La prévention sanitaire en élevage biologique
Une dizaine d'éleveurs laitiers se sont retrouvés le 1er février chez Claudette Dauvers pour découvrir son système d'exploitation et discuter des pratiques de chacun en terme de prévention sanitaire des élevages en agriculture biologique. Installée depuis 1970, la famille Dauvers a démarré la reconversion de l'exploitation en 1998, sous l'impulsion du fils, Alexis.
Production porcine biologique aux Pays-Bas : compte rendu d'un voyage d'étude
Les Pays-Bas affichent l'objectif ambitieux de multiplier par 20 la production biologique actuelle d'ici à 5 ans (soit une production de 500 000 porcs à l'horizon 2004). Le facteur limitant pour atteindre cet objectif n'est pas l'alimentation comme en France, mais la surface nécessaire pour épandre les déjections animales.
Production porcine écologique en Allemagne
Neuland est une association d'agriculteurs, de consommateurs et de protection de la nature créée en 1989. Elle regroupe 240 agriculteurs dont 40 éleveurs de porcs situés en Basse Saxe. La production est d'environ 14000 porcs charcutiers par an. Les éleveurs de Neuland exploitent une troisième voie entre la production conventionnelle et l'agriculture biologique, dans le cadre de l'agriculture durable définie à la Conférence de Rio.
Produire de la viande bovine en agriculture biologique
Après une présentation de l'historique et des motivations des éleveurs, ce document rassemble les caractéristiques des exploitations sur l'assolement, le troupeau, le système fourrager et les résultats technico-économiques. Quatre pratiques plus spécifiques aux systèmes biologiques sont ensuite développées : l'entretien de la fertilité des sols, la conduite des cultures, la finition et la conduite sanitaire des animaux. Document disponible auprès de la Chambre régionale d'agriculture des Pays de la Loire.
Produire de la viande bovine biologique
Conçu pour aider les candidats à une future reconversion à l'agriculture biologique, ce fascicule, cinquième d'une collection, est consacré à la production de viande bovine. Il fournit les principes de gestion du troupeau allaitant et des cultures fourragères. Les trajectoires techniques complètes des principales cultures présentes en exploitation d'élevage sont également décrites dans le détail. Une large place est consacrée à la conversion, aux procédures administratives ainsi qu'à la présentation de la filière et de ses perspectives. Le lecteur pourra trouver des références de prix des produits utilisables ainsi que les nouveaux cahiers des charges en production bovine.
Qualité des fourrages "à fourrage sain animal sain"
Pourquoi tant de travail en vue d'un fourrage sain ? Simplement parce que sur le long terme, la performance de production en quantité et qualité est indissociable de la santé de l'animal. Voici quelques réflexions et pistes à propos des fourrages pour les ruminants : l'eau est le premier fourrage, la vitalité de la flore de panse conditionne le rendement de la ration, l'herbe qui se conserve le mieux est l'herbe sur pied, ... Ensuite, il faut choisir entre la logique foin et la logique silage, tout en se rappelant qu'il faut faire en sorte que la qualité du fourrage prime sur le reste : vitesse d'exécution ou contraintes de la CUMA.