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VP GEN : Vie Professionnelle Généralités |
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Terre écrite
Christian MALON, Auteur ; Joseph PACINI, Auteur | AVIGNON (19 Rue Agricol Perdiguier, 84 000, FRANCE) : CARDÈRE ÉDITEUR | 2015« Terre écrite » est la rencontre du travail de Joseph Pacini, qui signe des textes courts et empreints de poésie, dans la veine de René Char, et de celui de Christian Malon, photographe. À eux deux, ils ont composé un ouvrage où ils offrent leurs visions sensibles du monde rural, dans un dialogue permanent entre héritage et avenir, tradition et modernité. La photo est centrale et confère un caractère résolument esthétique à cet ouvrage, pour porter un regard sur le monde paysan, sur ces femmes et ces hommes qui nous nourrissent, entretiennent et animent nos paysages.
50 idées reçues sur l'agriculture et l'alimentation
Des réponses claires qui remettent en cause beaucoup d'idées reçues, c'est ce que propose cet ouvrage. Exemples : - La plupart des tomates n'ont plus de goût. Vrai. Le goût ne fait pas partie des critères de sélection des aliments proposés par l'agriculture industrielle ; - Boire beaucoup de lait est bon pour la santé. Faux. C'est mauvais pour les os et pour le taux de cholestérol ; - Le réchauffement climatique met en péril nos vins. Vrai. Mais on pourra peut-être y remédier ; - Nos races animales sont en voie de disparition. Vrai. Et il est urgent d'agir ; - L'agriculture industrielle vend des produits « bon marché ». Faux. Nous les payons en réalité très cher ; - Vivre à la campagne est bon pour la santé et rend plus heureux. Faux. Les conditions de vie s'y dégradent. Citons encore dans les idées reçues abordées : Les plantes bio contiennent des champignons toxiques ; La variété des semences diminue ; Nos éleveurs se soucient peu du bien-être animal ; Les produits bio, plus coûteux, sont réservés aux bobos ; Les paysans sont libres de produire ce qu'ils veulent, etc. Ce sont en tout 50 affirmations qui sont ainsi passées au crible pour y apporter des éléments de réponse étayés par les résultats de recherches scientifiques.
L'animal : L'éclatement juridique : Un animal peut-il être mangé (2)
Ce document fait suite à une première partie intitulée : "Lanimal : lame de fond sociétale". Aujourdhui, partout dans le monde, sélèvent des voix pour demander la reconnaissance de la sensibilité de lanimal et la modification de son traitement juridique. En France, le Parlement est saisi dun projet de loi pour aller dans ce sens. Derrière ce travail juridique, apparaît un droit certes éclaté, mais qui permet néanmoins la protection des animaux. Historiquement, cette protection a dabord concerné les animaux domestiques, puis les animaux tenus en captivité, puis enfin lensemble des animaux, domestiques ou sauvages. Le droit communautaire a fait passer ensuite les droits nationaux de la protection au bien-être. Le débat parlementaire a rappelé que les animaux sont des êtres vivants doués de sensibilité. Aujourdhui, la question juridique nest plus de mettre en place des systèmes de protection de lanimal pour le protéger des mauvais traitements, mais de réfléchir autrement les rapports entre lHomme et lanimal et de revoir la place de lanimal dans la hiérarchie des valeurs de la société. Ainsi, il est nécessaire de prendre le temps de construire une politique transversale de lanimal, avant même de penser construire un statut juridique de lanimal. Car le droit ne fait pas une politique, il en est lexpression. La question est de savoir quelle est la politique française de lanimal.
Lanimal, lame de fond sociétale : Un animal bien traité peut-il être mangé ?
Partout dans le monde s'élèvent des voix pour demander la reconnaissance de la sensibilité de l'animal et la modification de son traitement juridique. Lanimal ne serait plus une chose et pas encore une personne. En France, le Parlement est saisi d'un projet de loi pour modifier le code civil afin de reconnaître la sensibilité de l'animal. Derrière ce travail juridique, apparaît un droit certes éclaté, mais qui permet néanmoins la protection des animaux. Cependant, la question juridique cache un débat plus profond en lien avec la lame de fond sociétale en faveur des animaux et en lien avec la question du droit de tuer des animaux et de consommer de la viande. Cette note a pour objet de faire un état des lieux du débat qui agite aujourdhui la société au sujet de lanimal, dans un contexte juridique éclaté.
Connaissances Bio - Faits et fondements sur l'agriculture et la transformation biologiques
Thomas ALFÖLDI, Auteur ; Karin NOWACK, Auteur ; Theresa REBHOLZ, Auteur ; ET AL., Auteur | FRICK (Ackerstrasse 113, Case Postale 219, CH-5070, SUISSE) : FIBL (Institut de recherche de l'agriculture biologique) | 2014Édité par le FiBL et Bio Suisse, ce document a pour but de simplifier l'accès du public non agricole aux différents thèmes de l'agriculture biologique. Il résume l'état des connaissances et présente les principaux défis de l'AB. Au sommaire : - Généralités sur l'agriculture biologique ; - Production végétale ; - Production animale ; - Plus-value pour la société ; - Marché bio ; - Organisations ; - Les défis qui se posent à la production biologique ; - Documentation pour aller plus loin.
Les détergents : " naturels " - ou pas ?
BIO-LINEAIRES, AuteurLa notion de " degrés de naturalité " entre dans la discussion sur la naturalité des matières premières. On estime en effet que certaines de ces matières premières, ou certains produits, peuvent être considérés comme plus ou moins naturels que d'autres. Qu'en est-il des détergents sur ce point-là ? Seulement un tout petit nombre de substances à effet détersif sont susceptibles d'être qualifiées de " naturelles ". C'est le cas des extraits du saponaire (Saponaria officinalis), que l'on trouve dans nos régions, mais aussi du bois de Panama, ou encore des noix lavantes (Sapindus trifoliatus). Ces substances n'offrent cependant pas les mêmes performances pour nettoyer que le savon classique, et doivent même être utilisées avec certaines précautions.
Deux caravanes pour la défense d'une agro-écologie paysanne et pour la santé
Sophie CHAPELLE, AuteurDu 7 au 12 mai, deux caravanes militantes ont parcouru la France pour défendre le droit des paysans à produire et reproduire librement leurs semences, leurs animaux, les soins à leur prodiguer et leurs produits fermiers. Une des craintes de l'association pour la promotion des préparations peu préoccupantes (ASPRO-PNPP) est que la nouvelle loi sur les contrefaçons, adoptée le 5 février, permette l'interdiction des produits qui contiendraient des microorganismes brevetés (pain au levain, fromages fermiers, vins naturels, plantes soignées avec des purins de plantes...). L'ensemble des associations appelant à ces deux caravanes militantes demande en conséquence une exception agricole et alimentaire générale à l'application de la lutte contre la contrefaçon. La deuxième partie de l'article relate une des étapes des caravanes, chez des viticulteurs en biodynamie, qui gèrent leur vignoble avec un tiers seulement des doses de cuivre autorisées en AB, grâce notamment aux préparats biodynamiques et à l'implantation d'une flore variée entre les ceps.
Dossier : Les ados et la bio
Aline BOSSI, Auteur ; Sylvie HAMPIKIAN-LE NIN, Auteur ; Julien CLAUDEL, Auteur ; ET AL., AuteurCe dossier, intitulé "Les ados et la bio", se compose des articles suivants : - Nourrir son ado en bio sans se le mettre à dos ; - Cosmétiques bio : plus qu'une mode ! ; - Leur regard sur les cantines bio ; - Formations : l'avenir est dans le pré (bio) !
Faire pousser ses graines germées
Cet ouvrage présente une sélection de graines à faire germer soi-même, ainsi que leurs bienfaits, des suggestions d'utilisation et des recettes. Une série de conseils permettra de réussir la germination : matériel nécessaire, règles à respecter pour mélanger les graines, quantités, méthode de conservation, soins (lumière, eau, température). Pour chaque type de graines, les différentes techniques possibles sont expliquées et illustrées étape par étape. Sont ainsi étudiées les légumineuses (pois, lentilles, pois chiches), les céréales (sarrasin, avoine, orge, quinoa, riz), les pousses feuillées (alfalfa, brocoli, choux, trèfle, radis, oignon), les graines mucilagineuses (recouvertes d'une pellicule collante : cresson, lin, moutarde), les grands germes (produits par de grosses graines et qui donnent de longues pousses pouvant remplacer la salade), les herbes destinées à élaborer des jus vitaminés .
Il n'y a pire sourd, que celui qui ne veut pas entendre...
Jean-François LEMAIRE, AuteurCet article fait le parallèle entre M. Charby, agrobiologiste qui, en 1974, passait devant les tribunaux pour avoir refusé la vaccination de son cheptel, et Emmanuel Giboulot, viticulteur bio à Beaune qui, le 24 février 2014, a dû passer devant le Tribunal de Dijon parce qu'il avait refusé de traiter ses vignes avec un pesticide à titre préventif comme le lui demandait l'Administration.
Itinéraires de Créatifs Culturels : Incarner la transition aujourd'hui
Elsa Dréau-Rivière est partie à la rencontre de personnages qui incarnent la transition chacun à leur manière : écologie, art, culture, éducation alternative, éco-construction, médecines alternatives... De là, se sont dessinés des portraits, en images et en mots, de citoyens qui ont choisi de vivre en accord avec leurs valeurs. On découvre les parcours d'acteurs de la transition : des agriculteurs bio, un clown, un professeur, des artisans, des artistes ou encore une sage-femme ! Autant d'itinéraires atypiques et engagés qui se dévoilent au fil des pages. Ces hommes et ces femmes vivent selon les valeurs des Créatifs Culturels : écologie, engagement citoyen et action locale, valeurs féminines, ouverture multiculturelle, vie intérieure... Ils nous interpellent, pour réparer ou dégager de nouveaux chemins pour la communauté humaine. Un appel pour prendre sa vie en mains, se donner du courage et créer, construire.
Les maillons de la " bio " : Benjamin BOURCET, chauffeur laitier
Alexandra AMOSSÉ, AuteurBenjamin Bourcet est chauffeur laitier de Biolait au relais local de Joué l'Abbé, dans la Sarthe. Il décrit son métier et ses missions à Biolait, parle des avantages et des inconvénients de son travail, et de la façon dont il envisage son avenir professionnel au sein du groupement.
Une mini-ferme à la maison : 8 mini-guides craquants pour vivre " comme à la campagne "
Présentés en 8 mini-livres insérés dans un plateau coloré, des informations clés et des conseils pratiques sont donnés pour s'approprier quelques-uns des savoir-faire de la campagne : - Élever ses poules ; - Élever ses lapins ; - Élever ses chèvres ; - Récolter ses légumes ; - Cueillir ses fruits ; - Faire son fromage ; - Faire ses conserves et confitures ; - Faire son miel.
Le monde a-t-il un sens ?
Jean-Marie PELT, Auteur ; Pierre RABHI, Auteur | PARIS (13 Rue du Montparnasse, 75 006, FRANCE) : ÉDITIONS FAYARD | 2014Jean-Marie Pelt et Pierre Rabhi, amis de longue date, mettent ici en commun, par-delà les désespérances de notre temps, une vision qui se veut optimiste mais qui exige, à leurs yeux, pour aboutir à un monde plus juste et fraternel, une authentique et massive « insurrection des consciences ». Toutes les cultures du monde se sont interrogées sur la question du « sens ». Dans notre société en perte de repères, la science, nous dit Jean-Marie Pelt, permet, en explorant le réel du big bang jusqu'à l'homme, d'apporter des éléments de réponse à cette question. En effet, d'un bout à l'autre de la longue histoire de l'univers, l'évolution conduit des éléments simples à s'associer pour former des entités plus complexes, faisant émerger de nouvelles propriétés. C'est ce qu'il appelle le « principe d'associativité ». Par de multiples exemples puisés dans la nature, Jean-Marie Pelt met en lumière le fait que la vie doit davantage à l'alliance qu'à la rivalité. Pierre Rabhi défend avec lui ce principe en « intendant et serviteur de la Terre nourricière », comme il se définit lui-même. Pour lui, il appartient désormais aux hommes de poursuivre ce processus en privilégiant la coopération au détriment de la compétition, source de tensions et de conflits.
Le monde mystérieux des colorants naturels
Valentine DONCK, AuteurGrâce aux plantes tinctoriales dont on extrait les colorants naturels, les tissus peuvent bénéficier des teintures les plus variées. Depuis les années soixante-dix, certaines plantes ont été re-cultivées dans ce but : gaude, pastel, garance... Souvent considérée comme anecdotique, cette activité a cependant permis de maintenir un vivier de semences de ces plantes, que l'on trouve rarement à l'état sauvage. Aujourd'hui, les stages pour apprendre les techniques se multiplient. C'est aussi l'objet de projets professionnels, comme l'a montré le "Festival international sur les teintures et colorants naturels" qui s'est tenu en 2011 à Lyon, et qui a rassemblé plus de cinq cents participants venus de quatre-vingts pays. De grands manufacturiers se penchent sur la mise au point de teintures végétales, et une multitude d'initiatives locales se développent, comme celle de Charlotte Marembert qui utilise, dans son atelier de Bruxelles, des plantes de son jardin et de celui de sa mère en Auvergne. L'entreprise "Couleurs de plantes", en Poitou-Charentes, collabore avec trois agriculteurs produisant une vingtaine de plantes tinctoriales, et avec le Centre régional d'innovation et de transfert des technologies horticole de Rochefort-sur-Mer pour la mise au point des techniques culturales et d'extraction. Le Jardin des Plantes à Couleurs de Namur et le projet wallon Lutea sont aussi présentés dans cet article. Les points de vue chimique et technique sont également examinés : selon quels principes certaines plantes produisent-elles des colorants, quels en sont les composants, comment les utiliser ?