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La situation mondiale de l'alimentation et de l'agriculture 2021 : Rendre les systèmes agroalimentaires plus résilients face aux chocs et aux situations de stress
Depuis deux ans, la pandémie de Covid-19 met en exergue la vulnérabilité des systèmes agroalimentaires face aux chocs et aux situations de stress. Ce contexte a entraîné une augmentation de linsécurité alimentaire et de la malnutrition à l'échelle mondiale. Face à ce constat, il est nécessaire de prendre des mesures pour rendre les systèmes agroalimentaires plus résilients, efficients, durables et inclusifs. Ce rapport réalise un état des lieux, à léchelle mondiale, de la situation de l'alimentation et de l'agriculture. Il présente notamment des indicateurs sur la résilience des systèmes agroalimentaires, en les illustrant par des exemples concrets. Ces indicateurs permettent de mesurer la solidité de la production primaire et la garantie de laccès (physique et économique) à lalimentation, et ainsi, dévaluer la capacité des systèmes agroalimentaires à absorber des aléas (aspect essentiel de la résilience). Ce rapport détaille également les différents points de vulnérabilité des chaînes dapprovisionnement et la manière dont les ménages ruraux font face aux risques et aux chocs. Des solutions sont également apportées afin de parvenir au meilleur équilibre possible entre le renforcement de la résilience, l'efficience et l'inclusivité. Ce rapport a ainsi pour objectif de donner des indications aux décideurs politiques pour renforcer la résilience des chaînes dapprovisionnement alimentaire et assurer de façon durable, même en cas de perturbation, laccès de tous à une alimentation suffisante, sûre et nutritive.
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Systèmes alimentaires durables : Un manuel pour s'y retrouver
Les systèmes alimentaires durables sont essentiels pour assurer la sécurité alimentaire et une alimentation saine pour les générations futures. Pour faire la transition vers la durabilité, de nombreuses activités du système alimentaire doivent se transformer, et une myriade dacteurs à travers le monde doivent agir localement. Certains changements sont plus faciles à mettre en place que dautres, mais savoir comment naviguer à travers ces changements pour promouvoir des modes de consommation et de production durables exige un ensemble de compétences complexes. Ce manuel, adressé aux « innovateurs de systèmes alimentaires durables », est rédigé par un groupe dinnovateurs dAsie, dAfrique, des Amériques et dEurope qui mènent des initiatives pour cultiver, partager, vendre et consommer des aliments plus durables dans leur contexte local. Le manuel inclut des expériences de changement dans lorganisation des systèmes alimentaires locaux pour les rendre plus durables. Il est rédigé sous la forme dun « livre dont vous êtes le héros » où chaque lecteur ou groupe de lecteurs peut identifier ses priorités et développer son parcours dapprentissage et daction. Les sujets abordés dans ce manuel sont répartis en quatre groupes dinnovations organisationnelles, à savoir : mobiliser les consommateurs, produire durablement, mettre en marché les produits, et sorganiser équitablement. Ce document est également disponible en anglais (https://www.fao.org/3/ca9917en/CA9917EN.pdf) et en espagnol (https://www.fao.org/3/ca9917es/ca9917es.pdf).
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The potential of agroecology to build climate-resilient livelihoods and food systems
Fabio LEIPPERT, Auteur ; Maryline DARMAUN, Auteur ; Martial BERNOUX, Auteur ; ET AL., Auteur | ROME (Viale delle Terme di Caracalla, 00153, ITALIE) : FAO (Organisation des Nations Unies pour l'Alimentation et l'Agriculture) | 2020Ce rapport détude fournit des éléments pour répondre à la question suivante : comment l'agroécologie peut-elle favoriser l'adaptation au changement climatique, l'atténuation et la résilience à travers des pratiques agricoles et des politiques ? En effet, pour faire face au changement climatique, la transformation des systèmes agricoles et alimentaires est nécessaire. Ce défi ne pourra seffectuer que par le biais dune collaboration interdisciplinaire à tous les niveaux, en rassemblant des données techniques, les différents acteurs du système alimentaire et les acteurs politiques. Cette étude sinscrit dans cette logique. Elle est née dune collaboration entre de nombreux acteurs : des institutions de recherche, des organisations de la société civile et lOrganisation des Nations unies pour lalimentation et lagriculture (FAO). Elle étudie : 1 la scène politique internationale, et plus particulièrement la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC) et laction commune de Koronivia pour lagriculture (KJWA) ; 2 - une méta-analyse sur des études déjà existantes en lien avec lagroécologie et le changement climatique ; 3 des études de cas au Kenya et au Sénégal : la première a porté sur le potentiel dintégration de lagroécologie dans les cadres institutionnels, et la seconde a porté sur le potentiel technique via une analyse comparative de la résilience des agroécosystèmes. Ces différents travaux ont mis en évidence le fait que lagroécologie renforce la résilience des agroécosystèmes, en soutenant des principes écologiques (biodiversité, diversité globale, santé des sols ) et en consolidant des aspects sociaux. Ils font également ressortir limportance de respecter la nature transdisciplinaire et systémique de lagroécologie pour quelle puisse réellement transformer les systèmes agricoles et alimentaires.
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Orienter les interventions futures pour répliquer à grande échelle la gestion durable des terres
Le but de lanalyse des leçons apprises des expériences du programme stratégique dinvestissement sur la gestion durable des terres en Afrique subsaharienne (SIP) était dorienter les engagements / investissements futurs, en particulier dans le cadre des récentes déclarations de lUnion africaine sur lagriculture et la réhabilitation des terres par le NEPAD, le FEM, TerrAfrica, lInitiative de la Grande Muraille Verte pour le Sahel et Sahara (GGWISS), les organismes des Nations Unies et autres bailleurs de fonds. Ce document présente un résumé des résultats destiné aux décideurs nationaux, organismes, partenaires de développement et bailleurs de fonds, et à prendre en compte pour des interventions futures à grande échelle de la gestion durable des terres (GDT).
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The New Nordic Diet as a prototype for regional sustainable diets : In : MEYBECK, A. et REDFERN, S.. Sustainable Value Chains for Sustainable Food Systems : a workshop of the FAO/UNEP Programme on Sustainable Food Systems. Rome : Food and Agriculture Organization of the United Nations, 2016. 353 p.
Susanne BÜGEL, Auteur ; Jostein HERTWIG, Auteur ; Johannes KAHL, Auteur ; ET AL., Auteur | ROME (Viale delle Terme di Caracalla, 00153, ITALIE) : FAO (Organisation des Nations Unies pour l'Alimentation et l'Agriculture) | 2016Un des principaux challenges des systèmes alimentaires durables est de lier une production respectueuse de lenvironnement à un régime alimentaire sain. Le nouveau régime alimentaire nordique sappuie sur le régime méditerranéen, en utilisant des ingrédients et des saveurs des climats scandinaves. De la même manière, il contribue à préserver les espaces naturels locaux et la santé des consommateurs. Les principes et lignes directrices de ce régime peuvent être mis en uvre dans nimporte quelle région du monde.
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Durabilité et élevage biologique-Modèle (SOL-m) : Impacts de la transition vers un élevage biologique à faible intensité d'intrants à l'échelle mondiale : Premiers résultats
Le projet « Durabilité et élevage biologique-modèle (Sol-m) », mené par la FAO, a pour objet d'étudier, à travers un modèle, les impacts potentiels, à l'horizon 2050 et à l'échelle mondiale, « d'une conversion des systèmes actuels d'élevage vers une approche de production biologique à faible intensité d'intrants ». Cinq scénarios sont étudiés : i) le maintien des principes/pratiques de l'agriculture actuelle, ii) une réduction de 50 % des aliments concentrés pour l'alimentation animale, iii) l'exclusion totale des aliments concentrés, iv) la conversion complète à l'élevage biologique avec une part importante de concentrés bio, v) la conversion totale avec une exclusion complète des concentrés. L'article présente les premiers résultats obtenus. Ces derniers montrent notamment que, si les niveaux de consommation de produits animaux restent inchangés, il sera impossible de préserver la qualité environnementale en 2050. Par ailleurs, la réduction ou l'arrêt de la consommation d'aliments concentrés dans l'élevage permettrait d'augmenter la disponibilité alimentaire et de réduire la pression sur les zones forestières. Une conversion totale vers la production biologique sans réduction des concentrés pourrait répondre aux besoins alimentaires (en calories) et apporterait d'importants plus, en termes d'environnement, mais nécessiterait plus de surfaces agricoles, et ce, d'autant plus que la demande en produits animaux n'est pas réduite. Par contre, ce besoin supplémentaire en terres agricoles n'existerait pas dans le cas de conversion totale à une production biologique excluant les concentrés. Cette étude montre aussi l'importance de valoriser les pâturages et celle de promouvoir, quel que soit le scénario, une diminution de la demande en produits animaux pour l'alimentation humaine.
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Food wastage footprint : Impacts on natural resources
Olivier JAN, Auteur ; Clément TOSTIVINT, Auteur ; Anne TURBE, Auteur ; ET AL., Auteur | ROME (Viale delle Terme di Caracalla, 00153, ITALIE) : FAO (Organisation des Nations Unies pour l'Alimentation et l'Agriculture) | 2013
Un tiers de la production alimentaire mondiale serait perdue entre la récolte et la consommation. Si les conséquences économiques et sociales sont connues, il n'y a pas d'études sur les conséquences environnementales de ces pertes alimentaires. Cette étude de la FAO vise à quantifier les impacts du gaspillage alimentaire sur les émissions de gaz à effet de serre (GES), la qualité de l'eau, des sols et la biodiversité. Pour y parvenir, le monde a été divisé en sept grandes régions qui représentent des groupes de systèmes alimentaires. Le gaspillage de produits alimentaires totaux s'élève à 1,6 Gigatonnes (Gt) en équivalent de denrées alimentaires de base, tandis que la production agricole totale (alimentaire ou non) est de 6 Gt. L'empreinte carbone des produits alimentaires gaspillés ou perdus est estimée à 3,3 Gt d'équivalent CO2, ce qui pourrait revenir à placer le gaspillage au rang de troisième émetteur de GES derrière les Etats-Unis d'Amérique et la Chine. En termes de surfaces agricoles, cela représente 1,4 milliard d'hectares, soit un tiers de la surface agricole utile mondiale. L'évaluation de l'impact sur la biodiversité est difficile à établir, mais peut être extrapolé sur les externalités négatives des monocultures et de la déforestation nécessaires à cette production alimentaire non consommée.
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Organic agriculture : African experiences in resilience and sustainability
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Deuxième conférence africaine sur l'agriculture biologique (AOC2) : La déclaration de Lusaka pour positionner l'agriculture biologique au centre de l'agenda du développement en Afrique
ASSOCIATION DES PRODUCTEURS ET TRANSFORMATEURS BIOLOGIQUES DE ZAMBIE (ZAMBIE), Auteur ; MINISTERE DE L'AGRICULTURE ET DE L'ELEVAGE DE ZAMBIE (ZAMBIE), Auteur ; UNCTAD, Auteur ; ET AL., Auteur | GENEVE 10 (Palais des Nations, 8-14 Av. de la Paix, 1211, SUISSE) : UNCTAD (United Nations Conference on Trade and Development) | 2012Du 2 au 4 mai 2012, s'est tenue la 2ème conférence africaine sur l'agriculture biologique à Lusaka, en Zambie. Dans cette déclaration, les 300 participants venus de 35 pays reconnaissent les rôles que peut jouer l'agriculture biologique sur l'augmentation des rendements agricoles en Afrique, et sur l'amélioration de la sécurité alimentaire et des conditions de vie des agriculteurs et de leurs communautés. Ainsi, ils interpellent les pouvoirs publics et divers porteurs d'initiatives en vue de permettre à l'agriculture biologique de se développer dans des conditions optimales sur le continent. D'ores et déjà, AfroNet (réseau africain de l'AB) a été institutionnalisé et un Plan d'action africain de développement de l'AB a été élaboré. L'Union européenne et les autres partenaires commerciaux mondiaux sont également sollicités dans cette déclaration, leur rôle étant essentiel pour faciliter la participation de l'Afrique aux marchés biologiques mondiaux (reconnaissance des cahiers des charges comme équivalents notamment).
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GOMA : Global Organic Market Access : Asia regional organic standard (AROS)
UNCTAD, Auteur ; IFOAM, Auteur ; FAO, Auteur | GENEVE 10 (Palais des Nations, 8-14 Av. de la Paix, 1211, SUISSE) : UNCTAD (United Nations Conference on Trade and Development) | 2012La norme régionale relative à l'agriculture biologique en Asie (AROS), qui décrit les exigences relatives à la production biologique, a été développée grâce à un partenariat public-privé entre plusieurs parties prenantes dans l'Est, le Sud-est et le Sud de l'Asie. Cela a été possible dans le cadre du projet GOMA (Global Organic Market Access, 2009 à 2012), dirigé conjointement par la FAO, l'IFOAM et la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED), également auteurs et éditeurs de ce document. Cette norme commune a pour objectifs de faciliter l'équivalence entre les différentes normes existantes et les programmes de certification, et ainsi de développer la coopération interrégionale entre les différentes zones concernées, et même au-delà, en matière d'étiquetage et de commercialisation des produits biologiques. Ce document présente la norme AROS et les principes généraux de la production et de la transformation de produits biologiques, qui concernent les productions végétales, la cueillette de plantes sauvages, la transformation et l'étiquetage.
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GOMA : Global Organic Market Access - Organic equivalence tools : International Requirements for Organic Certification Bodies (IROCB) and Guide for Assessing Equivalence of Organic Standards and Technical Regulations (EquiTool) Version 2
UNCTAD, Auteur ; IFOAM, Auteur ; FAO, Auteur | GENEVE 10 (Palais des Nations, 8-14 Av. de la Paix, 1211, SUISSE) : UNCTAD (United Nations Conference on Trade and Development) | 2012Le projet GOMA (Global Organic Market Access, 2009 à 2012) est issu d'un partenariat entre la FAO, l'IFOAM et la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED), également auteurs et éditeurs de ce document. Face au développement et à la multiplication des normes et réglementations relatives à l'agriculture biologique dans le monde, l'objectif de ce partenariat est de faciliter la commercialisation des produits biologiques. En effet, un groupe de travail international, dédié à l'harmonisation et à l'équivalence en agriculture biologique (ITF), a reconnu ces deux éléments comme des facteurs clés du développement des produits bio sur le marché mondial. Ainsi, deux outils ont été développés pour favoriser les évaluations d'équivalence : - les exigences internationales pour les organismes de certification en agriculture biologique (IROCB), qui a pour objectif de soutenir l'évaluation de l'équivalence entre les différents systèmes de certification, et, - le guide pour l'évaluation de l'équivalence des normes et réglementations en agriculture biologique (EquiTool), destiné à soutenir l'évaluation de l'équivalence entre les conditions de production et de transformation des produits bio. Mis au point par l'ITF, ces deux outils ont ensuite été diffusés et mis en uvre dans le cadre du projet GOMA, qui avait aussi pour but de sensibiliser les utilisateurs potentiels. Ce document présente les deuxièmes versions de chacun de ces outils, après quatre ans d'existence de leurs premières versions.
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L'Etat des ressources zoogénétiques pour l'alimentation et l'agriculture dans le monde
La gestion durable de la diversité génétique des animaux d'élevage dans le monde est d'une importance vitale pour l'agriculture, la production alimentaire, le développement rural et l'environnement. Cet ouvrage est une première évaluation de ces ressources. Basé sur 169 rapports nationaux, sur des contributions de plusieurs organisations internationales et sur 12 études thématiques spécialement mandatées, il présente une analyse de l'état de la biodiversité de l'agriculture dans le secteur de l'élevage - origines et développements, utilisations et valeurs, distribution et échange, état de danger et menaces - et de la capacité à gérer ces ressources - institutions, politiques et cadres légaux, activités de sélection organisées et programmes de conservation. Des outils et des méthodes pour améliorer l'utilisation et le développement des ressources zoogénétiques sont explorés. L'agriculture biologique est concernée notamment à travers des programmes de conservation présentés. Toutefois, certaines technologies citées (clonage...) ne sont pas autorisées en AB.
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Codex alimentarius : Aliments issus de l'agriculture biologique : Troisième édition
Les Directives concernant la production, la transformation, l'étiquetage et la commercialisation des aliments issus de l'agriculture biologique ont été développées au vu de l'augmentation de la production et du commerce international pour les aliments issus de l'agriculture biologique, dans le but de faciliter le commerce et de prévenir les allégations trompeuses. Elles sont destinées à faciliter l'harmonisation des exigences pour les produits biologiques sur le plan international, et peuvent aussi apporter une assistance aux gouvernements souhaitant établir des règlementations nationales dans ce domaine. Cette troisième édition comprend des révisions du texte adoptées par la Commission du Codex Alimentarius jusqu'en 2007. Organisé en différentes sections, le codex alimentarius présente : les domaines d'application ; la description des aliments issus des modes de production biologique et des définitions (agrément officiel, animaux d'élevage...) ; l'étiquetage et les allégations ; les règles de production et de préparation ; les conditions à l'inscription de substances à l'annexe 2 et les critères pour l'établissement de listes de substances par les pays ; les systèmes d'inspection et de certification ; - les conditions des importations (produits visés, certificat, authenticité du produit...) ; l'examen permanent des directives. En annexes, sont présentés : les principes de production biologique ; les substances autorisées pour la production d'aliments ; les prescriptions minimales d'inspection et mesures de précaution prévues dans le cadre du système d'inspection/de certification.
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International Conference on Organic Agriculture and Food Security, 3-5 May 2007, FAO, Italy : Documents
COLLECTIF ; FAO, Organisateur de réunion | ROME (Viale delle Terme di Caracalla, 00153, ITALIE) : FAO (Organisation des Nations Unies pour l'Alimentation et l'Agriculture) | 2007Les documents présentés lors de la Conférence Internationale sur l'Agriculture Biologique et la Sécurité Alimentaire, organisée par la FAO, à Rome, du 3 au 5 mai 2007 ("L'objectif de la Conférence était de mettre en lumière l'importance de l'agriculture biologique pour la sécurité alimentaire, grâce à l'analyse des informations disponibles dans différentes régions agroécologiques du monde..."), sont rassemblés dans ce dossier et portent sur les thèmes suivants : - Agriculture biologique et disponibilités alimentaires (présentation + études de cas) ; - Agriculture biologique et accès à la nourriture (présentation + études de cas) ; - Agriculture biologique et stabilité des approvisionnements alimentaires (présentation + études de cas) ; - Agriculture biologique et utilisation des aliments (présentation + études de cas) ; - Agriculture biologique et sécurité alimentaire (présentation). Ce dossier comprend aussi notamment un petit rapport sur la Conférence (en anglais et en français). (Tous ces documents sont téléchargeables sur le site de la FAO, à l'adresse suivante : www.fao.org/organicag).
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International Conference on Organic Agriculture and Food Security, 3-5 May 2007, FAO, Italy : Papers Submitted
COLLECTIF ; FAO, Organisateur de réunion | ROME (Viale delle Terme di Caracalla, 00153, ITALIE) : FAO (Organisation des Nations Unies pour l'Alimentation et l'Agriculture) | 2007Suite à l'appel à contribution lancé en janvier 2007 dans le cadre de la Conférence Internationale sur l'Agriculture Biologique et la Sécurité Alimentaire, organisée par la FAO, à Rome, du 3 au 5 mai 2007, et en 3 mois, 115 articles en relation avec l'agriculture biologique et la sécurité alimentaire ont été envoyés par des agriculteurs, des étudiants, des chercheurs et des organisations de société civile. Environ la moitié ont été sélectionnés (sur divers critères) et sont présentés dans cette compilation. Chaque article devait être classé dans l'une de ces quatre dimensions de la sécurité alimentaire : - Disponibilités alimentaires ; - Accès à la nourriture ; - Stabilité des approvisionnements alimentaires ; - Utilisation des aliments. (Tous ces documents sont téléchargeables sur le site de la FAO, à l'adresse suivante : www.fao.org/organicag).
FAO-HQ@fao.org