Détail de l'éditeur
Documents disponibles chez cet éditeur (27)


![]()
![]()
Recommandations en santé environnementale : Les politiques à mettre à l'oeuvre pour un quinquennat réussi au sujet des produits chimiques dangereux
Dans ce document, l'association Générations Futures, soutenue dans cette démarche par de nombreuses ONG, s'adresse aux candidats à l'élection présidentielle de 2022. Elle les interpelle sur la nécessité de définir et de mettre en place une politique de santé environnementale forte, afin d'assurer la santé des citoyens et de tout être vivant. Ainsi, 10 mesures pour lesquelles des résultats concrets sont espérés sur le quinquennat 2022-2027 sont présentées. Parmi celles-ci, figure la révision du Plan Stratégique National pour soutenir réellement l'agriculture biologique. Puis, un programme plus complet, autour de six grands axes, est exposé. Ces axes concernent : - la réduction des expositions aux polluants chimiques dangereux des populations et des milieux ; - l'évolution et la révision des réglementations ; - l'amélioration de la recherche ; - la veille sanitaire et environnementale ; - la responsabilité des industriels ; - la promotion des alternatives, notamment l'agriculture biologique.
![]()
Biased from the outset: The EU Commissions working document on new GM techniques fails to uphold environmental and consumer protection standards
IFOAM - ORGANICS INTERNATIONAL, Auteur ; GREENPEACE, Auteur ; GÉNÉRATIONS FUTURES, Auteur ; ET AL., Auteur | BONN (Charles-de-Gaulle-Strasse 5, 53113, ALLEMAGNE) : IFOAM - ORGANICS INTERNATIONAL | 2021Ce document retranscrit l'analyse critique dune soixantaine dorganisations non gouvernementales (ONG) et dassociations, suite à la publication dun document sur les nouveaux OGM par la Commission Européenne (CE). En avril 2021, la direction santé de la Commission européenne (DG SANTÉ) a publié un document de travail qui pourrait conduire à une proposition de déréglementation des nouvelles techniques de modification génétique (OGM de deuxième génération). Cette déréglementation viserait à ne plus obliger les contrôles de sécurité, ni l'étiquetage des OGM sur les produits (étiquetage visant à informer le consommateur), ni à exiger une traçabilité ou une surveillance des produits post-commercialisation. Les différentes ONG et associations qui ont signé cette réponse à la CE sopposent fermement aux propositions contenues dans ce document. Elles dénoncent le fait que ce « document de travail » est biaisé en faveur des intérêts de lindustrie des biotechnologies agricoles. Par ailleurs, elles dénoncent les impacts négatifs quaurait cette déréglementation : elle présenterait des risques inacceptables pour la santé humaine, la santé animale et l'environnement ; elle interdirait aux citoyens de savoir ce qu'ils mangent et aux agriculteurs de savoir ce qu'ils sèment ; elle soulèverait également des questions de biosécurité, de transparence de l'information et de protection des consommateurs.
![]()
![]()
Pesticides dans leau du robinet : La réglementation fait l'impasse sur les perturbateurs endocriniens
UFC-QUE CHOISIR, Auteur ; GÉNÉRATIONS FUTURES, Auteur | PARIS (179 Rue de Lafayette, 75 010, FRANCE) : GÉNÉRATIONS FUTURES | 2021Depuis 2012, l'UFC-Que Choisir étudie la qualité de l'eau du robinet au regard des pollutions rencontrées les plus fréquemment en France. Pour cette 4ème étude, l'UFC-Que Choisir et Générations Futures se sont particulièrement intéressés aux pesticides, première cause de non-conformité de l'eau du robinet. Les auteurs de létude montrent que le nombre de pesticides recherchés dans les analyses officielles peut varier considérablement d'un département à l'autre avec, dans certains cas, un nombre de molécules recherchées particulièrement faible. Ainsi, des analyses jugées conformes, mais réalisées sur un très faible nombre de molécules de pesticides, pourraient passer à côté dautres pesticides présents, mais non recherchés. En dautres termes, le nombre de consommateurs qui boivent une eau non-conforme au regard de la pollution de la ressource par les pesticides serait sous-évalué. Par ailleurs, selon les auteurs, les teneurs maximales en résidus de pesticides autorisées dans leau potable par la réglementation ne prennent pas en compte le fait que de nombreux pesticides sont fortement soupçonnés dêtre des perturbateurs endocriniens (p.e.), qui ont des effets sur lorganisme à partir de doses extrêmement faibles, potentiellement inférieures aux limites autorisées.
![]()
Rapport de synthèse EXPORIP : EXPOsition des RIverains aux Pesticides
YOOTEST, Auteur ; GÉNÉRATIONS FUTURES, Auteur | STRASBOURG (Science concept, 2 Rue de la Durance, 67 100, FRANCE) : YOOTEST | 2021EXPORIP - pour Exposition des riverains aux pesticides - est un projet scientifique participatif mis en place par la société YOOTEST et l'association Générations Futures dans le but de collecter des données sur la présence de résidus de pesticides chez les riverains de zones cultivées et traitées. La dérive de tels produits lors de leur application est un phénomène connu, mais les données sont peu nombreuses à ce sujet. Pour 30 produits phytosanitaires, des prélèvements ont été réalisés sur des surfaces vitrées de bâtiments proches de zones cultivées. Dans ce rapport, sont présentés la méthodologie mise en uvre, ainsi que les principaux résultats obtenus. Des résidus de pesticides ont été retrouvés sur 79,3 % des fenêtres, avec des concentrations variables, et principalement sur des bâtiments situés à une distance inférieure à 100 m des zones traitées.
![]()
![]()
Stop à la désinformation : Vérification des faits : Episode 3 : Les aliments issus de l'agriculture biologique sont-ils bons pour la santé ?
Les médias diffusent parfois des affirmations catégoriques sur labsence supposée de bénéfices sanitaires des aliments issus de lagriculture biologique. Quen est-il vraiment ? Ce document met en évidence que de nombreuses études témoignent deffets positifs dune alimentation bio sur la santé, par exemple : moins de syndromes métaboliques (syndromes qui augmentent considérablement le risque de diabète de type 2) ; moins de maladies cardiaques et daccidents vasculaires cérébraux. Pour dautres pathologies, létude française Nutrinet démontre que les gros consommateurs de bio ont un risque de cancer globalement réduit de 25 %. Dans le détail, les réductions les plus fortes et statistiquement significatives sont observées pour le cancer du sein post ménopause (-33 %), les lymphomes (-76 %) et tout spécialement les lymphomes non hodgkiniens (-86 %). Plus dune trentaine détudes publiées au cours de ces quinze dernières années ont été consacrées aux conséquences, pour la santé, de la consommation daliments bio, avec une accumulation de résultats convergents.
![]()
![]()
Oui, ré-autoriser les néonicotinoïdes serait un recul majeur que la France ne doit et ne peut se permettre. Explications.
FONDATION NICOLAS HULOT POUR LA NATURE ET L'HOMME, Auteur ; POLLINIS, Auteur ; GÉNÉRATIONS FUTURES, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS (179 Rue de Lafayette, 75 010, FRANCE) : GÉNÉRATIONS FUTURES | 2020Le 27 octobre 2020, le Sénat devait se prononcer en assemblée plénière sur le projet de loi du gouvernement remettant en cause linterdiction dutiliser, pour les betteraves, des insecticides contenant des néonicotinoïdes. Ce document a été rédigé à lattention des sénateurs, en amont du vote, par une vingtaine dorganisations (associations environnementales, associations de défense des consommateurs, syndicats agricoles et apicoles) afin de détailler les conséquences économiques, agronomiques, environnementales et sanitaires quengendrerait une ré-autorisation des néonicotinoïdes en France. Ces différentes organisations rappellent que la filière betteravière souffre de difficultés économiques structurelles (dérégulation du marché) et proposent des solutions économiques et agronomiques (sans néonicotinoïdes) pour préserver les emplois et rendre cette filière plus résiliente. Elles insistent également sur les impacts causés par ces insecticides sur la santé et sur lenvironnement en se basant sur de très nombreuses études scientifiques. Ils mettent ainsi en avant la contamination et la persistance des néonicotinoïdes dans les cours deau et les sols (au-delà des parcelles traitées), les effets mortels de ces insecticides sur les pollinisateurs (dont les abeilles) et sur de nombreuses autres espèces, notamment par effet ricochet sur les chaînes alimentaires (ex : poissons, oiseaux).
![]()
Des pesticides perturbateurs endocriniens, cancérigènes mutagènes et reprotoxiques dans lair en France
Nicolas MALVAL, Auteur ; François VEILLERETTE, Auteur ; Nadine LAUVERJAT, Auteur | PARIS (179 Rue de Lafayette, 75 010, FRANCE) : GÉNÉRATIONS FUTURES | 2020En décembre 2019, ATMO France a publié un document regroupant des mesures de pesticides contenus dans lair, effectuées en France, entre 2002 et 2017. Ces mesures ont été réalisées par différentes Associations Agréées de Surveillance de la Qualité de lAir de France (AASQA). Générations Futures a analysé ces données pour évaluer la proportion de résidus de perturbateurs endocriniens, de produits cancérigènes, de produits mutagènes et de produits reprotoxiques dans les résidus de pesticides contenus dans lair. Face à lhétérogénéité des données (les molécules recherchées sont différentes suivant les régions, les limites de détection ne sont pas les mêmes entres les laboratoires et ont évolué entre 2002 et 2017 ), deux analyses ont été effectuées : une spécifique à lannée 2017 (données les plus récentes), et une autre sur lintégralité des données. Dans les deux cas, les proportions de perturbateurs endocriniens et de substances reprotoxiques ont été quantifiées. Ces analyses montrent clairement que les perturbateurs endocriniens sont très largement présents dans lair (plus de 56 % des quantifications de pesticides dans lair en 2017 étaient des perturbateurs endocriniens). Les résidus de pesticides reprotoxiques sont également fréquents (plus de 27 % des quantifications). Lair peut ainsi être considéré comme une réelle voie dexposition de la population à ces molécules néfastes pour la santé humaine.
![]()
Des pesticides perturbateurs endocriniens, cancérigènes mutagènes et reprotoxiques dans leau du robinet en France en 2019
Lobjet de cette enquête était lanalyse des résultats des contrôles sanitaires de leau du robinet réalisés dans le cadre danalyses réglementaires par les agences régionales de santé. Les données correspondent à lannée 2019 et ont été fournies par le ministère des Solidarités et de la Santé (data.gouv.fr). Quelle est la proportion des résidus de pesticides quantifiés lors de ces analyses deau du robinet ayant des propriétés cancérogène, mutagène, reprotoxique (CMR) ou perturbatrice endocrinienne (PE) ? Le travail danalyse des données montre clairement que des résidus de pesticides sont fréquemment retrouvés dans leau du robinet en France et que, parmi les résidus retrouvés, les molécules CMR (reprotoxiques) et /ou suspectées PE (perturbatrices endocriniennes) représentent plus des trois quarts des quantifications individuelles de pesticides (et plus de la moitié pour les seuls PE). Des tableaux présentent en détail les molécules retrouvées et leur toxicité, puis les résidus retrouvés, par molécule et par département.
![]()
![]()
Projet de loi visant à réintroduire les néonicotinoïdes en France : Le vrai et le faux de la communication gouvernementale
GÉNÉRATIONS FUTURES, Auteur ; Unaf, Auteur ; GREENPEACE, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS (179 Rue de Lafayette, 75 010, FRANCE) : GÉNÉRATIONS FUTURES | 2020Ce document a été rédigé en réaction à un projet de loi visant à ré-autoriser lutilisation de néonicotinoïdes en culture de betteraves sucrières en France. A travers ce document, seize organisations paysannes, environnementales et apicoles sadressent aux députés français pour déconstruire quelques arguments favorables au retour des néonicotinoïdes. Il décrit en quoi ces insecticides présentent des risques pour les pollinisateurs, même si les betteraves sont récoltées avant leur floraison. Pour cela, il démontre la toxicité importante de ces insecticides, ainsi que leurs grandes rémanences et leurs capacités à contaminer lenvironnement. Ce document explique pourquoi le changement de pratique proposé (ne plus pulvériser de néonicotinoïdes mais enrober des semences avec ces insecticides) nest pas une solution durable et est en contradiction avec les objectifs du plan Ecophyto. Il présente aussi pourquoi la jaunisse (maladie transmise par des pucerons et contre lesquels les néonicotinoïdes sont utilisés) nest pas la principale cause de la crise que la filière betterave traverse en France. Cette crise est majoritairement due à des causes plus structurelles, telles que la dérégulation du marché et les sécheresses. Enfin, quelques chiffres, en lien avec les diminutions de rendement engendrées par linterdiction dutiliser des néonicotinoïdes et les emplois menacés au sein de la filière, sont contestés et réévalués.
![]()
![]()
Résidus de pesticides dans les fruits et légumes
François VEILLERETTE, Auteur ; Aurèle CLÉMENCIN, Auteur ; Nadine LAUVERJAT, Auteur | PARIS (179 Rue de Lafayette, 75 010, FRANCE) : GÉNÉRATIONS FUTURES | 2020Selon Générations Futures, les chiffres exacts relatifs à la présence de résidus de pesticides dans les fruits et légumes non bio ne sont pas rendus publics en France. Dans ce rapport, lassociation précise cette affirmation et explique que, dans les chiffres officiels annuels présentés par la DGCCRF (Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes) en matière de contrôle et de surveillance des résidus de pesticides dans les fruits et légumes, les échantillons issus de lAB sont compris dans les chiffres globaux, bien qu'ils soient aussi présentés dans une rubrique à part. Cette procédure minimise ainsi le volume de contamination des produits issus de l'agriculture conventionnelle. Ce rapport présente les calculs des pourcentages de contamination des fruits et légumes non bio par des résidus de pesticides quantifiés.
![]()
![]()
Etat des lieux des résidus de pesticides dans les fruits et légumes en France : Edition juin 2019
La présence de résidus de pesticides dans les fruits et légumes (et les céréales) apparaît aujourd'hui dans les premiers rangs des préoccupations des consommateurs en matière de risques alimentaires en France et en Europe. Cette deuxième édition du rapport de Générations Futures sur les résidus de pesticides dans les fruits et légumes consommés en France intègre les données 2017 de la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF). Il couvre ainsi une période détude de 6 ans (2012-2017). Il présente les résultats pour les 18 fruits et les 32 légumes sélectionnés, ainsi que le classement de chacun en fonction de la présence de résidus de pesticides mesurés, ainsi qu'en fonction des dépassements des limites maximales en résidus (LMR) sur la période 2012-2017.
![]()
![]()
Enquête EXPPERT 10 : des pesticides perturbateurs endocriniens dans l'alimentation des Européen.nes
Après une analyse des données publiées en juillet 2018 par lEFSA (Autorité européenne de sécurité des aliments), Générations Futures a calculé que 66 849 résidus de pesticides perturbateurs endocriniens (PE) suspectés ont été quantifiés sur les 109 843 résidus de pesticides au total trouvés dans des aliments. Ce total de résidus de pesticides perturbateurs endocriniens suspectés représente 60,85 % de tous les résidus de pesticides quantifiés par lEFSA, soit plus de 6 sur 10. Au-delà de ces résultats, les auteurs insistent sur le fait que, pour ces perturbateurs endocriniens suspectés, il est impossible de prétendre quune dose sans effet existe, et que, par conséquent, la notion de limite maximale de résidus (LMR) na pas réellement de sens. Il conviendrait en revanche, pour eux, dabandonner une logique de conformité à la LMR pour une vraie logique de prévention qui passe par la suppression des pesticides PE avérés, probables et suspectés.
![]()
![]()
Etat des lieux des résidus de pesticides dans les fruits et légumes en France
La présence de résidus de pesticides dans les fruits et légumes (et les céréales) apparaît aujourd'hui au tout premier rang des préoccupations des consommateurs en matière de risques alimentaires en France et en Europe. Ce rapport entend apporter une information complète sur cette question pour les fruits et légumes issus de l'agriculture conventionnelle vendus et consommés en France. Le rapport a été élaboré sur la base de données officielles produites par la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF). Les analyses effectuées ont permis de réaliser un classement des fruits et des légumes en fonction de la fréquence de la présence de résidus de pesticides mesurés, ainsi qu'en fonction de la fréquence des dépassements des limites maximales en résidus (LMR), sur une période allant de 2012 à 2016. Le rapport présente les résultats détaillés pour chacun des 19 fruits et 33 légumes sélectionnés.
![]()
Homologation des pesticides : L'industrie écrit ses propres règles. : Rapport de recherche rédigé par Pesticide Action Network Europe
A travers cette étude portant sur l'homologation des pesticides, Pesticide Action Network (PAN) Europe, réseau d'ONG, d'institutions et de particuliers, a révélé que, parmi 12 méthodes européennes d'évaluation des risques liés aux pesticides, 92 % étaient conçues ou encouragées par l'industrie. Dans la plupart des cas, ces méthodes ont été rédigées par l'Agence européenne de sécurité des aliments sur la base de critères proposés par les industriels. Par ailleurs, pour 75 % des cas étudiés par PAN, des experts proches de l'industrie étaient présents dans les panels européens et mondiaux statuant sur les méthodes d'évaluation des pesticides. Ces résultats s'appuient sur l'analyse de 12 critères ou méthodes d'évaluation des risques : la pertinence pour les humains, la marge d'exposition, le rétablissement d'organismes non ciblés, les données de contrôle historiques, l'extension à une génération des tests sur la reprotoxicité, les métabolites pertinents, les tests de toxicité sur les abeilles, les micro/mésocosmes pour l'évaluation des risques aquatiques, le seuil de préoccupation toxicologique (TTC), l'évaluation probabiliste des risques liés aux résidus de pesticides dans l'alimentation, l'équivalence en substance (sûreté des OGM) et l'Adverse Outcome Pathway (AOP, alternative aux tests sur les animaux).
![]()
![]()
Manger bio sans augmenter son budget : c'est possible : Les clés d'une alimentation saine à moindre coût
Paloma DWIDAR, Auteur ; Nadine LAUVERJAT, Auteur | PARIS (179 Rue de Lafayette, 75 010, FRANCE) : GÉNÉRATIONS FUTURES | 2018Ce dossier synthétique démontre, par lexemple, quau-delà des intérêts sanitaires et environnementaux, la consommation de produits bio, si elle saccompagne de quelques ajustements dans les habitudes de consommation, ne grève pas lourdement les budgets. Cela est vrai à la maison, mais aussi en restauration collective où les gestionnaires regardent de très près toutes dépenses supplémentaires. 3 parties composent ce dossier : un premier volet expose les raisons dadopter une alimentation bio, tant en matière de santé que d'un point de vue environnemental ; un deuxième volet aborde le sujet du bio « à la maison » ; un dernier volet se concentre sur la restauration collective. Quelques exemples de recettes sont donnés.
adherent@generations-futures.fr