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Comment concilier nutrition et climat ? Pour la prise en compte des enjeux environnementaux dans le Programme National Nutrition Santé : Synthèse de l'étude conjointe du Réseau Action Climat et de la Société Française de Nutrition
Nicole DARMON, Auteur ; Benoit GRANIER, Auteur ; Béatrice MORIO, Auteur ; ET AL., Auteur | MONTREUIL (Mundo M, 47 Avenue Pasteur, 93 100, FRANCE) : RÉSEAU ACTION CLIMAT-FRANCE | 2024L’alimentation, qui représente 22 % de l’empreinte carbone nationale, doit fortement évoluer dans les prochaines années afin de respecter les objectifs climatiques de la France. Cette étude met en évidence la nécessité d’actualiser les recommandations alimentaires du Programme National Nutrition Santé (PNNS), en prenant en compte, non seulement les enjeux de nutrition et de santé humaine, mais aussi les impacts environnementaux liés à l’alimentation (et, en particulier, les émissions de gaz à effet de serre). L’étude formule des propositions concrètes, en invitant notamment à ne pas consommer plus de 450 g de viande par semaine (toutes viandes confondues, incluant la viande rouge, la volaille et la charcuterie), et à manger des légumineuses chaque jour (lentilles, pois chiches, haricots secs, etc.). Cette synthèse, issue du rapport complet (https://reseauactionclimat.org/wp-content/uploads/2024/02/rapport_rac-sfn_complet_vf-1.pdf), s’articule en cinq parties : 1- L’urgence de se doter de politiques publiques pour des régimes sains et durables (nécessaire pour faire évoluer les représentations et les habitudes alimentaires des Français) ; 2- Le rôle central des recommandations du PNNS (qui sont traduites en campagnes de communication et permettent d’améliorer les connaissances de la population) ; 3- La prise en compte croissante de l’environnement dans les recommandations alimentaires des autres pays (25 pays le prennent en compte, dont des pays européens, mais aussi le Brésil, le Canada, la Chine ou le Mexique) ; 4- La modélisation de régimes compatibles avec les enjeux nutritionnels et environnementaux, avec deux fois moins de viande qu’aujourd’hui (sans avoir recours à des produits enrichis ou à des supplémentations) ; 5- Recommandations pour les pouvoirs publics (plusieurs recommandations sont formulées dont la création d’un Plan National Nutrition Santé Climat, la prise en compte des inégalités sociales et économiques, l’évolution de la formation…).
Artificialisation des sols et objectif « Zéro Artificialisation Nette » : État des lieux et enjeux ; Note de position du Réseau Action Climat
Fiona STEFFAN, Coordinateur ; Auréline DOREAU, Auteur ; Maxime PAQUIN, Auteur ; ET AL., Auteur | MONTREUIL (Mundo M, 47 Avenue Pasteur, 93 100, FRANCE) : RÉSEAU ACTION CLIMAT-FRANCE | 2023En 40 ans, la France métropolitaine a vu sa surface artificialisée presque doubler, passant de 2,9 à 5 millions d’hectares, ce qui en fait un des pays européens ayant artificialisé le plus de sols. Si aucune mesure n’est prise en France, ce sont 280 000 hectares d’espaces naturels supplémentaires qui seront artificialisés d’ici 2030, soit une superficie supérieure à celle du Luxembourg. Après plusieurs décennies de politiques de sobriété foncière qui se sont montrées insuffisantes, la loi Climat et résilience (2021) introduit des obligations chiffrées et planifiées de réduction de l’artificialisation des sols. Elle se décline en deux objectifs : 1) la réduction de moitié du rythme de consommation d’espaces naturels, agricoles et forestiers d’ici 2031 ; 2) la poursuite de cette réduction jusqu’à atteindre zéro artificialisation nette (ZAN) en 2050. Pourtant, cet objectif est déjà menacé et des reculs juridiques sont envisagés, afin d’affaiblir le caractère contraignant de ce dispositif. À terme, pour le Réseau Action Climat, si le Gouvernement ne parvient pas à maintenir l’exigence de sobriété foncière, cela renforcera la vulnérabilité des territoires et des populations aux impacts du dérèglement climatique : destruction de la biodiversité, aggravation du changement climatique et accentuation des disparités sociales et territoriales. Le document "État des lieux et enjeux" examine les causes et les conséquences de l'artificialisation des sols et décrypte l'objectif ZAN. Par ailleurs, dans sa "Note de position", le Réseau Action Climat et ses associations membres se penchent sur la loi Climat et résilience (progrès et rendez-vous manqués) et proposent des recommandations pour la mise en œuvre de l'objectif zéro artificialisation nette (ZAN).
Pour une véritable Stratégie Nationale pour l'Alimentation, la Nutrition et le Climat : Note collective de 54 organisations de la société civile
La loi Climat et Résilience de 2021 charge le gouvernement de publier, au 1er juillet 2023, une Stratégie Nationale pour l'Alimentation, la Nutrition et le Climat (SNANC), visant à intégrer les objectifs climatiques dans la politique de l'alimentation, en accord avec la Stratégie Nationale Bas carbone. Le système alimentaire français doit, en effet, évoluer en profondeur pour faire face au changement climatique, mais aussi pour répondre à l'absence de réduction de l'usage des pesticides et des engrais de synthèse, à la hausse continue des recours à l'aide alimentaire, ainsi qu'à la progression de maladies liées à une alimentation déséquilibrée et de mauvaise qualité. Cette Stratégie devra également répondre aux enjeux sociaux touchant les agriculteurs et les agricultrices : rémunération insuffisante, manque de reconnaissance... Cette note, élaborée collectivement par des associations de consommateurs, de familles, de lutte contre la précarité alimentaire, de patients, de paysans, de professionnels de santé, de protection de l’environnement et du bien-être animal, fait la demande d'une SNANC ambitieuse, établissant le cadre et fixant les objectifs d'une politique de l’alimentation à la hauteur des enjeux climatiques, de préservation de la biodiversité, de justice sociale, de bien-être animal et de santé publique. 13 recommandations sont formulées dans ce document.
Résilience de l'agroécologie face aux crises économiques et climatiques
Les conséquences, sur le secteur agricole français, des crises économique, géopolitique et climatique sont lourdes : pertes de rendements, envolée du coût des intrants, chute du nombre de fermes, pénuries d'eau, surcoûts liés au changement climatique... Face à ces constats, le Réseau CIVAM et le Réseau Action Climat publient un document qui met en lumière les fortes capacités de résilience du modèle agroécologique. Ce modèle comprend : 1 - des systèmes autonomes et économes (calibrage des objectifs de production d'une exploitation à ses capacités de production) ; 2 - des systèmes diversifiés (ateliers de production plus variés, rotations plus longues avec des cultures plus diversifiées, association entre élevage et cultures...) ; 3 - le travail avec la nature (infrastructures agroécologiques, biodiversité cultivée, semences paysannes...) ; 4 - une approche collective et territoriale (partage de connaissances entre pairs, mutualisation des moyens, circuits courts et de proximité...).
Climat : Pourquoi et comment changer notre alimentation ?
Éloïse DESCAMPS, Auteur ; Cyrielle DENHARTIGH, Auteur | TOULOUSE CEDEX 3 (75 Voie du TOEC, CS 27608, 31 076, FRANCE) : SOLAGRO | 2019Ce rapport analyse les interactions entre notre alimentation, le dérèglement climatique et la santé humaine. Il effectue une synthèse des publications les plus récentes. Quelques mesures ou expérimentations déjà mises en œuvre dans certains pays sont également évoquées. Ce rapport commence par contextualiser les enjeux environnementaux et de santé publique liés à l’alimentation. Il propose ensuite des axes d’évolution alimentaire afin de répondre à ces différents enjeux : réduire les surconsommations, diminuer la consommation globale de protéines, réduire le gaspillage, manger moins de protéines animales et plus de protéines végétales, manger plus de produits issus de l’agriculture biologique. Ce document apporte également des informations sur les tendances actuelles en matière d’habitudes alimentaires (notamment concernant la consommation de produits animaux) et sur les limites des politiques alimentaires publiques mises en place à ce jour. Enfin, il s’intéresse aux déterminants des comportements alimentaires. Il analyse, dans un premier temps, comment l’éclairage du choix du consommateur peut l’aider à avoir une alimentation plus équilibrée et plus durable (ex : recommandations nutritionnelles, labels, engagement collectif dans un processus de changement alimentaire). Dans un second temps, il analyse comment l’amélioration de l’environnement alimentaire peut aider le consommateur dans cette démarche (disponibilité des produits, accessibilité économique, accessibilité des commerces, commodité, désirabilité).
Emissions de gaz à effet de serre et fertilisation azotée : Initiatives collectives et territoriales
Cyrielle DENHARTIGH, Auteur ; Mélissa DUMAS, Auteur ; Goulven LEBAHERS, Auteur | MONTREUIL (Mundo M, 47 Avenue Pasteur, 93 100, FRANCE) : RÉSEAU ACTION CLIMAT-FRANCE | 2018Le secteur agricole émet 20 % de gaz à effet de serre sur le territoire français (environ 100 millions de tonnes éqCO2). Près de la moitié de ces émissions sont dues à la fertilisation azotée. Celle-ci peut être issue d'engrais minéraux de synthèse (obtenus par un processus industriel entre l’azote et l’hydrogène) ou d'apports organiques (fumier ou lisier). Cette pratique entraîne en particulier des émissions de protoxyde d’azote, l’un des trois principaux gaz à effet de serre, directement au champ après l’épandage au sol, ou indirectement, après transfert de l’azote vers les eaux sous forme de nitrate ou via l’atmosphère sous forme d’ammoniac. À cela, il faut ajouter les émissions de gaz à effet de serre liées à la fabrication et au transport des engrais azotés sur le sol français ou liées aux engrais importés. Cette publication a pour objectif de faire la lumière sur l’état des connaissances relatives aux émissions de gaz à effet de serre liées à la fertilisation azotée et aux politiques et mesures liées. Elle décrit de façon complète sept initiatives collectives locales, identifie les freins rencontrés et dégage des recommandations en matière de politiques publiques. Son but est, en particulier, d’inspirer d’autres porteurs de projet pour qu’ils se saisissent de ce champ d’action en identifiant les possibilités d’actions collectives.
Alimentation, Agriculture, Climat : État des lieux des politiques publiques & leviers d'action
L’agriculture a de nombreux liens avec le climat : responsable d’environ 20 % des émissions de gaz à effet de serre, elle est très impactée par les évolutions du climat tout en étant une partie de la solution lorsqu'elle met en œuvre des pratiques agricoles peu émissives de gaz à effet de serre. L’alimentation, par le biais de la demande, peut être un levier complémentaire pour faire évoluer les pratiques agricoles et les choix de production. Pourtant, la recherche de cohérence entre les politiques alimentaires et agricoles n’est pas encore suffisante. C’est pourquoi il est aujourd’hui important d’avoir une meilleure visibilité de l’intégration des questions climatiques dans les politiques publiques agricoles et alimentaires, de réfléchir à la cohérence de ces politiques entre elles et à la place des secteurs agricoles et alimentaires dans les politiques climatiques. De même, il est capital d’identifier la manière dont la société civile, représentée par les organisations environnementales, de santé et de consommateurs en particulier, peut agir pour mieux intégrer les enjeux climatiques dans les leviers d’actions agricoles et alimentaires. Cette étude propose un état des lieux des questions soulevées et 15 recommandations en matière de politiques publiques nationales et régionales, en termes de gouvernance et pour la recherche.
Les légumes secs : Quelles initiatives territoriales ?
Pois chiches, haricots, lentilles, fèves... les légumineuses sont porteuses de solutions, en particulier pour lutter contre le changement climatique. D’une part, leur introduction dans les rotations permet de diminuer les apports d’engrais azotés fortement émetteurs de gaz à effet serre et, d’autre part, leurs atouts nutritionnels sont reconnus dans le cadre d’une alimentation saine et équilibrée. Pourtant, la production et la consommation de légumineuses sont aujourd’hui très faibles en France. Le pays ne produit que 20 % des légumes secs consommés, et la consommation est passée de 7,2 kg/personne en 1920 à 1,7 kg/personne aujourd’hui, soit un niveau deux fois plus faible que la moyenne européenne. Un redéploiement de la production et de la consommation est possible dans les territoires. Cette publication met en avant plusieurs initiatives territoriales, sélectionnées de manière à couvrir une diversité de légumes secs, de provenances géographiques et d’organisations de filière. Les freins et leviers issus de l’analyse de ces retours d’expériences ont pour but de favoriser le développement d’initiatives similaires dans nos territoires. Au sommaire : - État des lieux des filières de légumineuses à graines en France ; - Initiatives françaises de production-consommation de légumes secs ; - Quelles initiatives à l’étranger ?
Les légumes secs, quels développements possibles à l'échelle des territoires ?
Xavier BONNET, Auteur ; Marie-Benoît MAGRINI, Auteur ; Nicolas MÉTAYER, Auteur ; ET AL., Auteur | TOULOUSE CEDEX 3 (75 Voie du TOEC, CS 27608, 31 076, FRANCE) : SOLAGRO | 2016Une gestion efficace de l’azote figure parmi les pratiques culturales pouvant susciter une réduction des émissions de gaz à effet de serre et contribuer à la protection de l'environnement. Dans ce contexte, quel peut être l’apport des légumes secs ? La Journée d’échanges de mai 2016 sur les légumes secs, organisée par le Réseau action climat et Solagro, a permis d’apporter plusieurs éclairages. Ce document est la synthèse des débats : - Les légumes secs en France (Marie-Benoît Magrini, économiste, INRA) ; - Les légumes secs, quelles initiatives territoriales ? : Présentation du rapport (Solagro, RAC, 2016) ; - Atelier 1 : Identification des freins et leviers au développement de la production de légumes secs sur le territoire français en adéquation avec les demandes locales ? ; - Atelier 2 : Quels outils et quelles politiques publiques mettre en place pour enclencher une transition nutritionnelle intégrant les légumes secs ? ; - Atelier 3 : Identification des freins et leviers à l’augmentation de l’intégration des légumes secs aux menus des restaurants scolaires ; - Quelles perspectives pour développer la production et la consommation de légumes secs en France ?
Adaptation de l'agriculture aux changements climatiques : Recueil d'expériences territoriales
Le RAC-F (Réseau Action Climat – France) publie cette étude, à destination des acteurs des territoires, sur les stratégies d'adaptation de l'agriculture aux changements climatiques. Elle fait suite à une première étude intitulée "Atténuer les émissions de GES du secteur agricole en France - Recueil d'expériences territoriales". Dans une première partie, sont détaillés les effets attendus des changements climatiques, l'état de la science sur le sujet, et les outils institutionnels déjà existants, les stratégies d'adaptation identifiées et les rôles possibles des territoires. Dans une deuxième partie, sont décrites 5 expériences territoriales ayant mis en place des actions concrètes : la communauté de communes Le Grésivaudan, le parc national des Ecrins, la Chambre d'agriculture de la Creuse, le Conseil général du Lot-et-Garonne et le territoire de la Mayenne (CIVAM AD 53 et Chambre d'agriculture).
Atténuer les émissions de gaz à effet de serre du secteur agricole en France : Recueil d'expériences territoriales
En se basant sur des exemples concrets, le Réseau Action Climat-France apporte, dans ce document, des éléments de réponse à une question que se posent les acteurs des territoires : quelles sont les actions de lutte contre le changement climatique qui peuvent être engagées pour le secteur agricole à l'échelle locale ? Un état des lieux des programmes d'atténuation du secteur agricole pour 7 territoires est présenté. Chaque territoire fait l'objet d'une fiche qui décrit les acteurs, le programme et la démarche, les résultats et les facteurs de réussite, les points de vigilance et les perspectives. L'analyse de ces expériences permet de tirer des enseignements sur les démarches pertinentes propres à impliquer les territoires dans des actions de réductions d'émissions de GES par les pratiques agricoles. Des spécialistes apportent également un éclairage sur certaines problématiques identifiées.
Intégrer l'agriculture dans les politiques d'atténuation des changements climatiques : recueil d'expériences internationales
La responsabilité de l'agriculture et de la déforestation dans les émissions de gaz à effet de serre pourrait atteindre 30 % des émissions mondiales. Pourtant, jusqu'à présent, peu de pays ont intégré ce secteur dans leurs politiques de lutte contre les changements climatiques, focalisant leurs efforts sur les consommations d'énergie fossile et les émissions de CO2... Or, l'agriculture devra répondre à une demande alimentaire mondiale accrue d'ici 2050. Cela suppose notamment de pouvoir adapter les systèmes de production aux impacts des changements climatiques attendus (effet négatif des hautes températures et du stress hydrique…). Pour répondre à ces différents enjeux, plusieurs pays à l'avant-garde ont déjà mis en place des politiques innovantes dans le secteur agricole qui pourraient inspirer d'autres Etats. Sous l'angle d'études de cas, une majorité de pays industrialisés, qui se sont engagés à réduire leurs émissions en fournissant les moyens nécessaires pour concevoir des politiques ambitieuses, sont mis en avant dans ce document. Présentation : - Fiche repère : France/Union européenne ; - Nouvelle-Zélande : Intégrer l'agriculture dans le marché carbone ; - Australie : Permettre aux propriétaires terriens de participer de façon volontaire au marché du carbone ; - Etats-Unis et Canada : L'agriculture comme activité compensatoire ; - Pays-Bas : Gestion des apports azotés ; - Royaume-Uni : Réduire les émissions du secteur laitier ; - Allemagne : Indépendance énergétique, réduction des émissions de CO2 et de CH4 et diversification agricole en soutenant la méthanisation ; Brésil : Programme pour une agriculture à bas niveaux carbone ; - Que nous enseignent ces différentes expériences ?
Agriculture et gaz à effet de serre : Etat des lieux et perspectives
Diane VANDAELE, Auteur ; Amandine LEBRETON, Auteur ; Benoît FARACO, Auteur | MONTREUIL (Mundo M, 47 Avenue Pasteur, 93 100, FRANCE) : RÉSEAU ACTION CLIMAT-FRANCE | 2010Après un rappel sur la façon dont l'agriculture mondiale s'est largement recomposée au cours de la seconde moitié du XXème siècle, et comment, d'ici 2050, elle devra nourrir 9 milliards d'individus tout en préservant les écosystèmes, le document précise que l'agriculture occupe une place à part, en particulier dans le contexte des changements climatiques. L'objet de la publication est de faire un état des lieux des connaissances scientifiques en matière d'émissions de GES (Gaz à effet de serre) agricoles et de mettre en exergue les différentes pistes techniques, politiques, ainsi que les instruments qui peuvent jouer sur ces émissions. La publication se compose comme suit : - Comprendre les interactions entre climat et agriculture ; - Agriculture : réduire les émissions et accroître le stockage du carbone ; - Les politiques d'atténuation en agriculture.