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Conférence de presse 16 novembre 2022 : Enquête Millésime BIO - CSA : Version synthétique
Ce document fait la synthèse de l'enquête, commandée par Millésime BIO à l'Institut CSA, qui répond à la question suivante : Comment les consommateurs de vin perçoivent-ils les labels bio et durables ? Pour cela, 4 échantillons de consommateurs de vin, de France, d'Allemagne, de Belgique et du Royaume-Uni, ont répondu à un questionnaire en ligne. Les résultats obtenus ont permis d'évaluer la notoriété et la confiance générée par les différents labels bio et durables et de comprendre la place du bio dans le paysage des labels, aux échelles nationales et internationales. Ainsi, 89 % des répondants français savent ce que le label bio signifie, tandis qu'ils ne sont que 46 % au Royaume-Uni. Sur l'ensemble des répondants, près des 2/3 estiment qu'il est justifié de pratiquer un prix plus élevé pour un vin bio.
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Dossier de presse : Millésime Bio 2022 : Mondial du vin et des autres boissons alcoolisées biologiques
Après une édition 2021 bouleversée par le contexte sanitaire, le salon professionnel mondial des vins, cidres, bières et spiritueux bio, Millésime Bio, s'est déroulé en deux temps en 2022, afin de garantir à tous les professionnels leur participation. Ainsi, Millésime Bio a débuté le 24 janvier pour deux jours, sur le modèle de lédition digitale 2021. À cette occasion, des milliers de visiteurs ont pu échanger avec les 500 exposants certifiés bio connectés, en amont du salon physique. Le rendez-vous physique, du 28 février au 2 mars, s'est tenu à Montpellier et a accueilli plus de 1450 exposants venus de 20 pays, qui ont présenté environ 40 % de loffre française de vin bio et un bel échantillon de loffre internationale. Et, comme chaque année, Sudvinbio et ses partenaires avaient imaginé un programme de conférences dédiées à la filière biologique. Au sommaire de ce dossier de presse : - Qu'est-ce qu'un vin bio ? ; - La certification bio ; - La viticulture bio en France : une dynamique très positive ; - Le marché du vin bio ; - Évolution de la consommation de vin bio en Europe ; - Bière bio : un marché en pleine progression ; - Concours Challenge Millésime Bio : La vitrine de l'excellence ; - Autres boissons alcoolisées bio ; - Ils aiment Millésime Bio : Paroles de professionnels ; - Un salon organisé par Sudvinbio.
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Evolution de la consommation de vin bio en Europe
SUDVINBIO, Auteur ; IPSOS, Auteur | MONTPELLIER (Bât. A8, ZAC Tournezy, 2 Rue Simone Signoret, 34 070, France) : SUDVINBIO | 2021Cette étude, réalisée pour Sudvinbio dans le cadre du salon Millésime Bio 2022, fournit des éléments relatifs à la consommation de vins biologiques sur trois marchés en Europe : la France, l'Allemagne et le Royaume-Uni. Globalement, les consommateurs sont de plus en plus préoccupés par les questions environnementales (81 % des Européens en 2021, contre 73 % en 2015), et cela impacte leurs habitudes de consommation. Si la consommation totale de vin est en baisse, celle du vin bio augmente. Ce dernier est un produit de consommation habituel pour 29 % des Européens (contre 17 % en 2015) et 36 % des Français. Cela concerne des consommateurs plutôt jeunes, à la recherche de produits respectueux de l'environnement et équitables, et prêts à payer un peu plus pour cela. Le marché de la bière bio est, lui aussi, en pleine évolution. Pour Nicolas Richarme, président de Sudvinbio, "on est passé d'une consommation de curiosité à une consommation structurelle".
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Bioprotection et gestion des fermentations alcooliques en bio : Résultats dexpérimentations en Languedoc-Roussillon (région Occitanie)
Valérie PLADEAU, Auteur ; Lucile PIC, Auteur ; Philippe COTTEREAU, Auteur ; ET AL., Auteur | MONTPELLIER (Bât. A8, ZAC Tournezy, 2 Rue Simone Signoret, 34 070, France) : SUDVINBIO | 2019La tendance visant à diminuer les apports de sulfites lors de la vinification se renforce, notamment en bio. Ce document présente une synthèse dessais visant à proposer des solutions efficaces et alternatives au sulfitage pré-fermentaire. Ces solutions reposent sur la mise en uvre de pratiques de bioprotection à laide de levures non Saccharomyces et de levures Saccharomyces. Ces essais ont été réalisés dans le cadre du projet de recherche « Maîtrise et gestion innovantes des populations microbiennes en bio », financé pour une durée de trois ans par la région Languedoc-Roussillon, puis par la région Occitanie. Le projet a été coordonné par Sudvinbio et a rassemblé la Chambre dAgriculture des Pyrénées Orientales, le groupe ICV, lIFV et Inter Rhône. Ce projet a permis de tester plus de 70 modalités de bioprotection, de 2015 à 2017, sur des cépages régionaux et de réaliser ces essais en conditions réelles de vinification. Ces tests ont permis dévaluer les paramètres suivants : 1 limplantation et le niveau de colonisation des souches testées ; 2 limpact sur la réduction du niveau de la flore indigène en phase pré-fermentaire ; 3 limpact sur les cinétiques fermentaires, les paramètres analytiques et la qualité organoleptique des vins. Ce document présente ainsi les résultats obtenus et les recommandations de vinification en conditions de non sulfitage des moûts en phase pré-fermentaire, sur des vins types du Languedoc-Roussillon.
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Etude Millésime Bio : En 2023, la France aura le 2ème plus grand vignoble bio du monde
SUDVINBIO, Auteur ; THE IWSR, Auteur | MONTPELLIER (Bât. A8, ZAC Tournezy, 2 Rue Simone Signoret, 34 070, France) : SUDVINBIO | 2019Alors que la consommation mondiale de vin diminue, le vin bio poursuit sa croissance, agrandissant ainsi dannée en année sa part de marché. Portée par la demande des consommateurs pour des produits respectueux de lenvironnement, la consommation de vin bio a pratiquement doublé dans le monde depuis 2013. Pour répondre aux besoins du marché, la France, lItalie et lEspagne, soit les trois principaux pays producteurs de vin bio au monde, vont considérablement accélérer la conversion de leurs vignobles pour atteindre une production de lordre de 2 milliards de cols (bouteilles) en bio en 2023. Cette étude détaille, dans cinq pays (France, Italie, Espagne, Allemagne, États-Unis), lavenir de la consommation et de la production mondiale de vin bio. Nouveauté de cette étude, les chiffres clés des vins effervescents bio sont présentés, leur consommation ayant plus que triplé depuis 2013 dans les pays étudiés.
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Viticulture biologique : L'entretien du sol : Réduire les coûts de production et la consommation en énergies fossiles
Nicolas CONSTANT, Auteur ; Christophe AUVERGNE, Auteur ; Nathalie FORTIN, Auteur ; ET AL., Auteur | MONTPELLIER (Bât. A8, ZAC Tournezy, 2 Rue Simone Signoret, 34 070, France) : SUDVINBIO | 2019Dans un contexte où les agriculteurs sont de plus en plus incités à réduire leur consommation, en produits phytosanitaires mais aussi en énergie, SudVinBio, la Chambre d'agriculture de l'Hérault, la FR CUMA et l'IFV se sont intéressés aux consommations en énergies fossiles des viticulteurs de l'ex-région Languedoc-Roussillon. Les résultats de leurs travaux au sein du projet "Optimisation des itinéraires techniques dentretien du sol en viticulture biologique en vue de réduire les coûts de production et la consommation en énergies fossiles" sont présentés dans ce guide. Ce dernier aborde tout d'abord les stratégies d'entretien du sol mises en place par des viticulteurs, dont une partie sont en agriculture biologique (129 des 334 viticulteurs et vignerons enquêtés). Les questions propres à la consommation de carburant sont ensuite abordées : comment évaluer la consommation en gazole non routier, quels sont les facteurs qui l'influencent dans le cadre des opérations d'entretien du sol. Enfin, des pistes pour réduire les consommations en gazole non routier utilisées au cours des interventions sur le travail du sol et les itinéraires techniques sont proposées.
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La gestion de la Flavescence dorée en viticulture biologique
La flavescence dorée est une maladie à phytoplasme (bactérie sans paroi) qui touche les vignes et est transmise par un insecte : la cicadelle (Scaphoideus titanus). En 2013, la moitié du vignoble français était concernée par cette maladie incurable. La lutte s'organise autour de trois axes d'action : - l'implantation de ceps sains, par exemple après les avoir traités à l'eau chaude ; - l'assainissement du vignoble, par une surveillance de celui-ci et l'arrachage des souches contaminées ; - et la maîtrise des populations de cicadelles. Des mesures prophylactiques et une lutte biologique se sont avérées inefficaces pour la gestion de cet insecte ravageur. En agriculture biologique, un insecticide est homologué contre la cicadelle : le pyrèthre naturel. Il permet en moyenne une baisse de 75 % des populations de cicadelles, avec toutefois des résultats assez variables. Les résultats de plusieurs expérimentations visant à évaluer l'effet de différents facteurs sur l'efficacité de cet insecticide sont rapportés dans ce document : - sensibilité aux UV ; - positionnement des traitements ; - utilisation en mélange avec du cuivre et du soufre ; - volumes de bouillie appliqués ; - effet du pH ; - impact sur la faune auxiliaire. L'intérêt d'autres produits de traitement qui seraient utilisables en bio a également été étudié : - traitements larvicides, à base de kaolinite calcinée notamment ; - traitements ovicides à base d'huile minérale et de soufre mouillable. Ce document est complété par le témoignage d'un viticulteur biologique devant faire face à la flavescence dorée et par une foire aux questions.
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La maîtrise de l'oïdium en viticulture biologique en Languedoc-Roussillon
En Languedoc-Roussillon, les viticulteurs doivent régulièrement faire face à des attaques d'oïdium. Pour ceux qui cultivent en bio, les moyens de lutte sont relativement limités. Pour accompagner les viticulteurs biologiques dans ce contexte, ce document, réalisé par Sudvinbio, présente le champignon responsable de l'oïdium et les conditions favorables à son développement. Puis, des moyens de lutte adaptés à l'agriculture biologique sont décrits. Enfin, une foire aux questions apporte les réponses aux interrogations les plus fréquentes des viticulteurs bio de la région.