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Agriculture biologique : Sécurité et autonomie fourragère : les clés de la réussite
Romane PELLERIN, Auteur ; Justine PERRET, Auteur ; Joël BATONNET, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS (9 Avenue Georges V, 75 008, FRANCE) : AGRICULTURES ET TERRITOIRES - CHAMBRES D'AGRICULTURE FRANCE | 2022Pour mieux faire face aux aléas auxquels ils sont confrontés, qu'ils soient d'ordre climatique ou économique, les éleveurs biologiques sont en quête d'autonomie alimentaire. À travers ce guide, édité par le réseau des Chambres d'agriculture, et rédigé par de nombreux conseillers et experts de ce réseau, des itinéraires techniques et des leviers durables sont proposés. Dans une première partie, les impacts du changement climatique sur l'autonomie alimentaire des élevages de ruminants biologiques sont explorés à travers les résultats de plusieurs projets, dont Climalait à l'échelle nationale, AP3C à l'échelle du Massif Central, ou encore Life AgriAdapt à l'échelle européenne (Allemagne, France, Estonie et Espagne). Les principaux leviers d'adaptation mobilisables sont listés par catégorie : leviers d'autonomie (achats d'aliments...), de surface (utilisation des parcours...), de techniques, de cultures (diversification...) ; et plusieurs outils au service des agriculteurs et des conseillers qui les accompagnent sont présentés. Dans les deuxième et troisième parties, des préconisations sont apportées pour optimiser la conduite des prairies permanentes et des principales cultures fourragères présentes en France (prairies temporaires, mélanges céréales-protéagineux, sorgho, colza, luzerne, maïs et betterave), de leur implantation à leur place dans la ration, en passant par la récolte et le stockage. Dans une quatrième partie, quelques grands principes pour construire sa rotation et y intégrer des cultures fourragères sont rappelés.
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Circuits courts : Produire, transformer et commercialiser de la viande bovine en circuits courts
Le CERD (Centre détude et de Ressources sur la Diversification) et le réseau des Chambres dagriculture ont conduit une enquête auprès de 71 producteurs de viande bovine, dont certains en bio, commercialisant, en moyenne, une vingtaine de bovins par an en circuits courts. Cette enquête, réalisée en 2019, fournit des repères sur différents modes dorganisation pour commercialiser en circuits courts (transformation à la ferme ou via un prestataire de service), sur différentes stratégies commerciales, ainsi que sur le temps de travail. Elle a également permis de recueillir des données économiques. Ce document présente une synthèse de ces résultats. Il est structuré en six parties : 1 - Structure, trajectoire et place de latelier viande bovine sur les exploitations ; 2 - Commercialisation ; 3 - Organisation de labattage, de la découpe et de la transformation ; 4 - Choix des animaux pour les circuits courts et gestion de la qualité ; 5 - Organisation du travail ; 6 - Rentabilité de lactivité viande bovine en circuits courts.
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« En filière vache laitière, utilisation de sciure de bois sur logettes tapis » ; « En bovins lait, la litière malaxée compostée, une technique exigeante mais gagnante » ; « En Bovins viande, cultiver du miscanthus pour être autonome en litière » ; « En ovins, remplacer la paille de céréales par la paille de colza »
Marie-Line BARJOU, Auteur ; Aurélien LEGAY, Auteur ; Domitille RONDEAU, Auteur ; ET AL., Auteur | PARIS CEDEX 12 (Maison Nationale des Éleveurs, 149 Rue de Bercy, 75 595, FRANCE) : INSTITUT DE L'ÉLEVAGE | 2022Ces quatre fiches présentent les intérêts et les limites de l'utilisation de plusieurs substrats en litière alternatifs à la paille. Elle se basent sur les témoignages déleveurs (conventionnels) suivis dans le cadre du dispositif Inosys réseau d'élevage. Le GAEC de Chez Massiat, à Saint-Léger-Magnazeix (87), cultive du miscanthus qui servira de litière pour ses bovins viande. Le GAEC Les Écureuils, à Lamothe (40), a recours à la litière malaxée compostée pour ses bovins lait. Le GAEC Geslin, à St Germain sur Sarthe (72), utilise de la sciure de bois sur des logettes avec tapis pour ses vaches laitières. Jérôme Piton, à Chaudron en Mauges (49), a opté pour la paille de colza pour ses ovins viande.
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L'implication des Chambres d'agriculture dans le développement de l'agriculture biologique : Etude sur l'offre d'accompagnement à la conversion en agriculture biologique 2019
Ce document, centré sur laccompagnement à la conversion, montre que les Chambres dagriculture sont bien engagées dans le développement de lagriculture biologique. Le réseau des Chambres dagriculture accompagne les agriculteurs qui souhaitent convertir leur exploitation en bio, mais aide également au-delà de la conversion. En effet, les Chambres dagriculture offrent un accompagnement aux agriculteurs déjà engagés en agriculture biologique et soutiennent lexpérimentation et la recherche en agriculture biologique. Ces services sont consolidés par la diversité de conseils proposés (individuels ou collectifs), ainsi que par lensemble des compétences acquises par les Chambres dagriculture. Ces travaux ont permis de révéler des leviers dactions, permettant doptimiser laccompagnement à la conversion en bio, tels que : - améliorer la communication sur loffre ; - amplifier les échanges et la mutualisation inter et intra régionaux ; - accroître loffre de formations proposée aux conseillers accompagnant les projets bio.
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Fiches AutoSysEl : Faire des stocks sur pied pour allonger le pâturage en période estivale - Caprins, Bovins lait, Bovins viande, Ovins lait, Ovins viande
Lespace AutoSysEl, géré par lInstitut de lÉlevage, est dédié aux éleveurs, aux techniciens et aux apprenants qui s'intéressent à l'autonomie alimentaire des élevages, et aux leviers techniques pour l'améliorer à l'échelle de l'exploitation. Cet espace héberge notamment cinq fiches techniques sur le report sur pied (une fiche par production animale : caprins, bovins lait, bovins viande, ovins lait, ovins viande). Lobjectif de cette technique est de reporter un excédent dherbe, obtenu à la fin du printemps, sur la période estivale, par un allongement des cycles des végétaux et par la maîtrise de lépiaison. Concrètement, il sagit de laisser vieillir tout ou partie des repousses dune ou de plusieurs parcelles, lorsque la croissance de lherbe est supérieure aux besoins des animaux. Lherbe sera consommée plus tard, lorsque la pousse redeviendra inférieure à la consommation des animaux. Ces fiches apportent des conseils, adaptés à chaque production, pour réaliser des stocks sur pied dans de bonnes conditions.
accueil@apca.chambagri.fr