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Natural vitamins in organic livestock; Natural antiparasitics in organic livestock; Natural antimicrobials in organic livestock
F. RIGHI, Auteur ; Carmen MANUELIAN, Auteur ; Massimo DE MARCHI, Auteur ; ET AL., Auteur | LEGNARO (DAFNAE, Viale dell'Università 16, 35020, ITALIA) : UNIVERSITY OF PADOVA | 2019Ces trois fiches ont été réalisées dans le cadre du projet européen Organic-PLUS (2018-2021). Ce dernier vise à réduire lutilisation dintrants pouvant être considérés comme litigieux en agriculture, et plus particulièrement en agriculture biologique. En élevage biologique, trois principaux intrants sont considérés comme litigieux : les vitamines de synthèse, les antiparasitaires chimiques et les traitements allopathiques. Chacun dentre eux fait lobjet dune fiche. Ces fiches commencent par contextualiser lutilisation de ces intrants en AB : pourquoi ils sont utilisés, comment la règlementation biologique européenne encadre leur utilisation Elles apportent ensuite des informations sur des alternatives naturelles à ces intrants. Pour remplacer les vitamines de synthèse, plusieurs sous-produits riches en vitamines naturelles et issus de filières agroalimentaires sont évoqués : sous-produits dalgues, dhuile dolive, dagrumes, de raisin et de caroube. En alternative aux antiparasitaires chimiques, lusage de plantes (phytothérapie) est détaillé : plantes contenant des composés anthelminthiques (parasites internes), plantes aidant au contrôle ectoparasitaire (parasites externes), plantes antiparasitaires spécifiques à la pisciculture. Enfin, des alternatives aux produits allopathiques (antimicrobiens) basées sur la phytothérapie sont proposées : traitements à base de plantes ou sous-produits de filières agroalimentaires contenant des composés antimicrobiens.
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Organic livestock: Research bibliometric
Massimo DE MARCHI, Auteur ; Carmen MANUELIAN, Auteur ; M. PENASA, Auteur | LEGNARO (DAFNAE, Viale dell'Università 16, 35020, ITALIA) : UNIVERSITY OF PADOVA | 2019Cette fiche d'information a été réalisée dans le cadre du projet européen Organic-PLUS (2018-2021). Ce dernier vise à réduire lutilisation dintrants pouvant être considérés comme litigieux en agriculture, et plus particulièrement en agriculture biologique. Afin de pouvoir quantifier et qualifier les recherches scientifiques effectuées sur lélevage biologique, et plus spécifiquement sur les alternatives aux intrants litigieux en élevage biologique (vitamines de synthèse, antiparasitaires chimiques, traitements allopathiques), une étude bibliométrique a été réalisée par léquipe DAFNAE de lUniversité de Padoue. L'équipe a effectué une recherche documentaire, en avril 2019, à l'aide de Web of Science. Les résultats obtenus ont été analysés avec le package « bibliometrix » v. 2.2.0 du logiciel R v. 3.6. Entre 1993 et 2018, 320 articles scientifiques ont été publiés en anglais sur l'élevage biologique. L'Allemagne est le pays qui a le plus publié darticles scientifiques (56), suivi par la France (31), le Danemark (30) et le Royaume-Uni (20). Ces articles concernent principalement les productions bovines et ovines (très peu darticles concernent les volailles alors que cette production est largement représentée en Europe). Aucun article scientifique ne traitait directement dalternatives aux intrants litigieux en élevage biologique.
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Preliminary results : France survey organic production
Massimo DE MARCHI, Auteur ; Héloïse BUGAUT, Auteur ; Sophie VALLEIX ; ET AL., Auteur | LEGNARO (DAFNAE, Viale dell'Università 16, 35020, ITALIA) : UNIVERSITY OF PADOVA | 2019Ce document synthétise les résultats dune enquête menée auprès d'éleveurs biologiques français dans le cadre du projet européen Organic-PLUS (2018-2021). Cette enquête portait notamment sur la gestion de la santé animale dans les élevages bio, et plus particulièrement sur lutilisation dintrants pouvant être considérés comme litigieux (antibiotiques, antiparasitaires). Au sein de lUnion Européenne, lutilisation des traitements allopathiques en élevage bio est strictement encadrée par les règlements (UE) n° 834/2007 et n° 889/2008. Toutefois, aucune publication de recherche ne permet de quantifier leur utilisation. Cest pour cette raison quune enquête en ligne a été menée auprès déleveurs bio dans 11 pays européens. Cette synthèse décrit uniquement les résultats obtenus en France (135 réponses). 37 % des éleveurs nont pas eu recours à des traitements antibiotiques en 2017. Les principaux problèmes de santé rencontrés sont les parasites internes, les boiteries et les mammites. Les éleveurs utilisent principalement la phytothérapie et les traitements conventionnels pour les soigner. Ces résultats révèlent la nécessité de continuer à chercher des alternatives aux traitements allopathiques et à communiquer sur celles-ci.
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Résultats préliminaires de l'enquête Organic-PLUS sur les élevages biologiques français (juin 2019)
Héloïse BUGAUT, Auteur ; Carmen MANUELIAN, Auteur ; Sophie VALLEIX, Auteur ; ET AL., Auteur | LEMPDES (VetAgro Sup - Campus agronomique de Clermont, 89 Avenue de l'Europe - BP 35, 63 370, FRANCE) : ABIODOC (Service de VetAgro-Sup) | 2019Au sein de lUnion européenne, les consommateurs plébiscitent les produits issus de lagriculture biologique, mais certains intrants peuvent être sujets à controverse. Afin de pallier le manque d'informations sur l'utilisation concrète de tels intrants, comme les vitamines de synthèse, les antibiotiques, les antiparasitaires ou encore les matériaux de litière issus de lagriculture conventionnelle (tels que la paille conventionnelle), une enquête a été conduite auprès déleveurs biologiques, dans le cadre du projet de recherche européen Organic-PLUS. En France, 135 réponses d'éleveurs ont été analysées. Cette analyse a permis de mettre en évidence que les élevages biologiques interrogés ne sont pas forcément concernés par les différentes maladies évoquées. Les résultats montrent également que les agriculteurs ont plus ou moins recours à différents traitements alternatifs (phytothérapie, homéopathie, probiotiques) selon le type de pathologie. La phytothérapie est, dans la plupart des cas, le type de traitement le plus utilisé, excepté contre les mammites et les boiteries (problèmes rencontrés assez fréquemment dans les élevages bio) pour lesquelles les traitements conventionnels restent encore les plus employés. Il sera ainsi nécessaire de poursuivre les recherches afin de trouver des alternatives à ladministration de ces traitements et de communiquer sur ces alternatives.
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Survey about the use of allopathic treatments and sources of information for organic livestock farms in France
Massimo DE MARCHI, Auteur ; Héloïse BUGAUT, Auteur ; Sophie VALLEIX, Auteur ; ET AL., Auteur | LEGNARO (DAFNAE, Viale dell'Università 16, 35020, ITALIA) : UNIVERSITY OF PADOVA | 2019Ce poster a été présenté lors des Rencontres ADSA (American Dairy Science Association) de 2019, organisées à Cincinnati, dans lOhio. Il illustre les résultats dune enquête réalisée dans le cadre du projet européen Organic-PLUS sur la gestion de la santé animale dans les élevages biologiques français. Cette enquête portait notamment sur lutilisation dintrants pouvant être considérés comme litigieux (antibiotiques, antiparasitaires) en élevage, et plus particulièrement en élevage bio. Au sein de lUnion Européenne, lutilisation des traitements en élevage bio est strictement encadrée par les règlements (UE) n° 834/2007 et n° 889/2008. Toutefois, aucune publication de recherche ne permet de quantifier leur utilisation. Cest pour cette raison quune enquête en ligne a été menée auprès d'éleveurs bio dans 11 pays européens. Ce poster décrit uniquement les résultats obtenus en France. Sur les 135 réponses, 37 % des éleveurs nont pas eu recours à des traitements antibiotiques en 2017. Les principaux problèmes de santé rencontrés sont les parasites internes, les boiteries et les mammites. Les éleveurs bio utilisent principalement la phytothérapie et les traitements allopathiques pour les soigner. Ils trouvent assez facilement des informations sur les traitements alternatifs en demandant à dautres éleveurs ou à leur vétérinaire. Ces résultats révèlent aussi la nécessité de continuer à chercher des alternatives aux traitements allopathiques et à communiquer sur celles-ci.