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Kippen houden zonder verenpikken : De biologische legpluimveehouderij als uitgangspunt
Le picage des plumes est une forme de comportement anormal qui surgit quand les animaux vivent dans une situation de stress dûe à des disfonctionnements pendant l'élevage des poulettes, des erreurs de logement ou de gestion. Le cannibalisme est aussi un comportement indésirable. Il peut être le dernier stade de picage des plumes, mais peut aussi surgir tout à fait indépendamment suite à des circonstances malheureuses. En agriculture conventionnelle, normalement, on enlève une partie du bec pour limiter les dégâts par picage des plumes et cannibalisme. Ceci est non seulement douloureux et non-respectueux des animaux mais c'est aussi un traitement de symptôme : même dans les bandes de poules ébecquées, les dégâts suite au picage des plumes peuvent être énormes. Des changements futurs dans la législation vont obliger à élever les poules pondeuses sans ébecquage, en liberté et en grands groupes. L'élevage biologique de poules est en avance là-dessus : en considérant la notion d'intégrité de l'animal, les poules doivent être élevées de telle façon qu'elles puissent exprimer leur comportement naturel, que le stress soit évité et le picage des plumes absent. L'ébecquage est interdit d'après la réglementation européenne pour la production avicole bio. Ce manuel rassemble des expériences d'éleveurs ainsi que des résultats de recherches scientifiques.
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Pilot project Group certification in Europe : End report
Ce rapport présente les résultats, conclusions et recommandations issus du projet pilote d'Ifoam relatif à la certification de groupe en Europe, qui s'est déroulé de 2006 à 2008. L'objectif de ce projet était de tester et de découvrir si : la certification de groupe pouvait être efficace en Europe comparée à la certification individuelle ; si elle pouvait être associée à d'autres avantages, en plus de réduire les coûts de la certification biologique et si elle pouvait s'adapter à la diversité des productions et des circuits de commercialisation. Quatre groupes pilotes ont vu le jour : en Turquie, en France (Nature et Progrès, Ecocert International et Ecocert France), en Italie et en Espagne. Au final, la certification de groupe a été considérée efficace dans les 4 pays et pas seulement utile pour les contrôles, mais aussi pour les conseils entre agriculteurs, l'amélioration de la qualité, le marketing commun Les coûts de la certification de groupe seraient plus élevés les deux premières années lors de la mise en place du système, comparés à la certification individuelle, mais moins élevés par la suite. Le cas des maraîchers vendant leur production localement est à approfondir. Une question demeure en Europe : faut-il limiter la certification de groupe aux petits producteurs et/ou aux agriculteurs des zones défavorisées ou faut-il ouvrir la certification de groupe à tous types d'agriculteurs ?
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Le potentiel du système d'allaitement pour l'élevage de veaux, dans l'industrie laitière biologique au Pays-Bas : Mise en pratique et développement en poids vif
Un chercheur hollandais est venu présenter les résultats d'une recherche faite en collaboration avec des producteurs laitiers biologiques désireux de changer leur méthode d'élevage des génisses en les laissant boire au pis jusqu'à trois mois. Cette conférence a été présentée en avril dernier à la 3ème conférence annuelle sur la recherche et la production laitière biologique qui a eu lieu au Campus d'Alfred de l'Université de Guelph (Ontario). Le document est consultable sur le site : http://www.agrireseau.qc.ca/agriculturebiologique.
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Proceedings of the COST SUSVAR/ECO-PB Workshop on Organic Plant Breeding Strategies and the Use of Molecular Markers : 17-19 January 2005, Driebergen, The Netherlands
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Seed availability for non-GM cotton production: An explorative study
Mans LANTING, Auteur ; Edwin NUIJTEN, Auteur ; Edith LAMMERTS VAN BUEREN, Auteur | LA DRIEBERGEN-RIJSENBURG (Hoofdstraat, 24, 3972, PAYS-BAS) : LOUIS BOLK INSTITUTE | 2015En 2013, 1 % de la culture mondiale de coton était biologique, et 74 % issue de cultures génétiquement modifiées. Cette étude, commandée par Textile Exchange et mise en uvre par un groupe de travail consultatif sur les semences et les sols (Seed & Soils Task Force Advisory Group), avait pour objectif de fournir un état des lieux sur la disponibilité en semences de coton bio, les contaminations par les cultures OGM, les tendances et les challenges de la production de coton biologique. Pour cela, 90 acteurs de la filière ont répondu à une enquête. Pour 81 % d'entre eux, il est difficile de se fournir en semences bio. Ce nombre augmente dans les pays où les cultures de coton OGM se développent, et diminue dans les pays où les cultures OGM ne sont pas autorisées. 50 % des participants à cette enquête estiment devoir faire face à des problèmes de contamination par les OGM, mettant principalement en avant la pollinisation croisée. Par ailleurs, il semblerait que l'efficacité et la rentabilité de la filière coton biologique doivent être améliorées. Les aspects culturaux et qualitatifs sont également abordés, les enquêtés ayant été questionnés sur leur vision du coton « idéal ».
info@louisbolk.nl