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Simulation prospective du Système Alimentaire et de son Empreinte carbone (SISAE) : Elaboration et évaluation de différentes visions du système alimentaire français en 2050 - Rapport final
Carine BARBIER, Auteur ; Christian COUTURIER, Auteur ; Patrice DUMAS, Auteur ; ET AL., Auteur | ANGERS CEDEX 01 (20 Avenue du Grésillé, BP 90406, 49 004, FRANCE) : ADEME - Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie | 2022Aller vers la neutralité carbone du système alimentaire (du champ à lassiette) à lhorizon 2050 impose une évolution sensible des régimes alimentaires. Cette évolution entraînera des arbitrages à différentes étapes : au niveau des systèmes de production agricoles, du partage dusage des sols, des importations et des exportations de produits agricoles et alimentaires, des systèmes de transformation, des modes dapprovisionnement des ménages Ce rapport décrit six visions du système alimentaire en 2050. Cinq dentre elles sont communes aux scénarios de lexercice Transitions 2050 de lAdeme, à savoir : un scénario « tendanciel », un scénario « Génération frugale », un scénario « Coopérations territoriales », un scénario « Technologies vertes » et un scénario « Pari réparateur ». La dernière vision reprend le scénario SNBC-AMS 2019 (ce dernier se rapproche du scénario tendanciel de lexercice Transitions 2050 de lAdeme). Pour chacune de ces visions, ce rapport décrit : les principes généraux du scénario, loccupation du territoire quil génère, les productions agricoles quil nécessite, l'évolution des surfaces en AB, les échanges internationaux occasionnés, les émissions de gaz à effet de serre engendrées, ainsi que la place des bioénergies au sein de ce système. Les résultats montrent, avant tout, limportance des synergies possibles entre les préoccupations de santé publique, la recherche dune plus grande autonomie alimentaire et la protection de lenvironnement.
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L'approvisionnement bio et local dans la restauration scolaire : déterminants, discours et mise en uvre territorialisée : Rapport final ; Annexes ; Recommandations pour l'action publique
Hélène CAUNE, Auteur ; Caroline BRAND, Auteur ; Christophe DANSAC, Auteur ; ET AL., Auteur | ANGERS CEDEX 01 (20 Avenue du Grésillé, BP 90406, 49 004, FRANCE) : ADEME - Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie | 2021Le projet de recherche BIOLOREC vise à identifier les conditions qui facilitent ou, au contraire, ralentissent l'introduction de produits bios et/ou locaux dans les menus servis en restauration collective scolaire, ainsi que d'autres changements des aliments ou des menus utilisés dans la restauration collective. Pour cela, le projet BIOLOREC mobilise plusieurs méthodes qualitatives, quantitatives, participatives afin d'évaluer le rôle des différents acteurs dans leurs territoires dans la mise en uvre de la loi EGALIM. Différents indicateurs ont été pris en compte : la part de l'alimentation issue de l'agriculture bio et locale, bien sûr, mais aussi des indicateurs sur la lutte contre le gaspillage alimentaire, l'introduction de menus végétariens, la recherche de produits alimentaires de qualité et/ou labellisés. Du côté des facteurs explicatifs de ce changement, le projet s'intéresse à la nature des débats publics et des arguments mobilisés dans les discussions sur le sujet, au rôle des différents acteurs agriculteurs, cuisiniers, responsables politiques, parents d'élèves de ces politiques territorialisées, mais aussi, aux opinions et aux valeurs des citoyens. L'identification de l'influence de la nature des contextes économiques, politiques et sociaux des territoires concernés permet au projet BIOLOREC de contribuer à mieux comprendre les conditions d'introduction des produits bio et locaux, les défis et les enjeux pour les acteurs locaux, et d'identifier des situations qui peuvent faciliter ou rendre plus difficiles les changements dans la restauration collective scolaire. Deux documents complètent ce rapport : un document "Annexes" et une synthèse des principales recommandations pour l'action publique.
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Freins et leviers pour une restauration collective scolaire plus durable Volet 1 : Analyse préliminaire des freins et leviers : état des connaissances (février 2021) ; Synthèse (2022) ; Rapport final (2022)
Pierre RAVENEL, Auteur ; Estelle ROCHETEAU, Auteur ; Anne TISON, Auteur ; ET AL., Auteur | ANGERS CEDEX 01 (20 Avenue du Grésillé, BP 90406, 49 004, FRANCE) : ADEME - Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie | 2021 et 2022Suite à la publication de la loi EGalim, lADEME, avec la collaboration dA(R)GILE, de Biens Communs, de Framheim et de Maiom, a conduit une étude sur les freins et leviers à la mise en uvre dune restauration plus durable au sein des cantines scolaires. Trois documents ont été publiés : un volet 1 (2021) qui concerne une analyse préliminaire des freins et des leviers : état des connaissances ; un rapport final et une synthèse (2022). Après létat des lieux (Volet 1), une seconde étape du projet, appelée « Les cantines sengagent », a donné lieu à laccompagnement de 15 établissements de restauration scolaire, pour la mise en uvre dune démarche de restauration collective durable et, notamment, respectant les objectifs de la loi EGalim. Diagnostic initial, élaboration dun plan dactions et mise en uvre sur un an, puis évaluation finale de la situation : ces étapes ont permis dacquérir une vision très opérationnelle des difficultés rencontrées sur le terrain et des solutions existantes ou à créer. Le rapport final du projet contient le bilan de cette opération ; le document de synthèse exprime que 10 recommandations issues du projet.
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Quels systèmes alimentaires durables demain ? Analyse de 16 scénarios du "secteur des terres" compatibles avec l'objectif de neutralité climatique : Rapport final
Christian COUTURIER, Auteur ; Pierre-Marie AUBERT, Auteur ; Michel DURU, Auteur ; ET AL., Auteur | ANGERS CEDEX 01 (20 Avenue du Grésillé, BP 90406, 49 004, FRANCE) : ADEME - Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie | 2021Les enjeux auxquels doit faire face, pour l'avenir, "le secteur des terres" - c'est-à-dire ce qui concerne l'agriculture, l'alimentation, la forêt, l'usage des terres et de la biomasse - sont cruciaux et touchent à des aspects environnementaux, sociaux et économiques. Afin de mieux les appréhender et d'imaginer les différentes options de transformation de ce secteur, de nombreux exercices et scénarios prospectifs ont été réalisés ces dernières années, par différentes structures, avec des objectifs divers et à différentes échelles. Dans ce rapport, est présentée l'analyse comparative de 16 d'entre eux qui explore les types d'enjeux pris en compte, l'influence de ces enjeux sur les options proposées pour l'avenir, les convergences et divergences qui se dégagent. Deux grandes familles de scénarios ont pu être identifiées : la première est essentiellement climato-centrée et basée sur des paris technologiques, la seconde aborde des approches plus systémiques, multifonctionnelles et reposant sur des dynamiques avant tout sociétales. In fine, les grands enseignements de cette étude montrent notamment que, dans la majorité des scénarios, la diminution de la consommation de protéines animales, et donc la réduction de l'élevage, apparaissent comme une voie pour la transition. En revanche, les hypothèses sur les rendements, l'utilisation des intrants et la prise en compte de la biodiversité sont contrastées. De manière générale, la faisabilité socio-technique de ces scénarios est peu abordée.
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Système alimentaire des Hauts-de-France : Diagnostic de sa durabilité et de sa résilience
Fin 2020, lADEME (lAgence de la transition écologique) a commandité un diagnostic du système alimentaire des Hauts-de-France. Cette étude a été réalisée en lien étroit avec la Région et la DRAAF. Lobjectif était dorienter les politiques daccompagnement des démarches territoriales autour de lagriculture, des filières agro-alimentaires et de lalimentation. Ce diagnostic a été mis en uvre conjointement par le Bureau dAnalyse Sociétale pour une Information Citoyenne (BASIC) et par Bio en Hauts-de-France, entre janvier et mai 2021. Il a mobilisé un large ensemble de bases de données publiques, détudes et de rapports publiés par la recherche académique, par des institutions et par des acteurs locaux. Ce diagnostic révèle que la région des Hauts-de-France apparaît comme excédentaire en terres agricoles par rapport aux besoins alimentaires de ses 6 millions dhabitants (elle pourrait nourrir 1,8 million dindividus supplémentaires). Ses capacités de transformation agroalimentaire et les volumes demplois associés sont, en revanche, insuffisants pour répondre à la demande en produits transformés des habitants. Du point de vue de la durabilité, son système alimentaire génère des pressions environnementales et sociales sur le territoire : paysages peu favorables à la biodiversité, dégradation de la qualité des sols et de leau, érosion des emplois Il est néanmoins possible de faire évoluer le système alimentaire actuel vers un système plus vertueux. Pour identifier la mise en uvre potentielle de feuilles de route stratégiques, deux scénarios pour 2050 ont été établis, le scénario "Tendanciel" et le scénario "Résilience et préservation". Dans ce dernier, les surfaces en AB passent à 50 %, les emplois agricoles augmentent de 58 %, etc.
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Transition(s) 2050. Choisir maintenant. Agir pour le climat Résumé exécutif
Cette réflexion prospective, menée par lADEME (lAgence de la transition écologique), décrit quatre chemins cohérents et contrastés pour conduire la France vers la neutralité carbone dici 2050. Ces quatre scénarios, nommés « Génération frugale », « Coopérations territoriales », « Technologies vertes » et « Pari réparateur », sont inspirés des quatre scénarios présentés par le GIEC dans son rapport spécial sur les conséquences d'une réchauffement planétaire à 1,5°C (2018). Ces scénarios visent à articuler les dimensions technico-économiques avec des réflexions sur les transformations de la société. Les impacts relatifs aux secteurs suivants sont détaillés : ceux qui relèvent de la consommation (laménagement du territoire, le bâtiment, la mobilité et lalimentation) ; ceux qui constituent le système productif (lagriculture, lexploitation des forêts et lindustrie) ; ceux qui forment loffre dénergie (le gaz, le froid et la chaleur, la biomasse, les carburants liquides et lhydrogène) ; ceux qui constituent des ressources (la biomasse et les déchets) ; les puits de carbone (liés à la forêt et au changement de pratiques agricoles). Cinq problématiques sont également mises en débat : 1 - La sobriété : jusquoù ? ; 2 - Peut-on sappuyer uniquement sur les puits naturels de carbone pour atteindre la neutralité ? ; 3 - Quest-ce quun régime alimentaire durable ? ; 4 - Artificialisation, précarité, rénovation : une autre économie du bâtiment est-elle possible ? ; 5 - Vers un nouveau modèle industriel : la sobriété est-elle dommageable pour lindustrie française ? Cette prospective est le résultat dun travail de plus de deux ans, réalisé en interaction avec des partenaires extérieurs, afin déclairer les décisions à prendre dans les années à venir.
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Agriculture et énergies renouvelables : Contributions et opportunités pour les exploitations agricoles - Synthèse
En France, en 2015, le monde agricole a contribué directement et indirectement à la production de 20 % des énergies renouvelables nationales, soit 4.5 Mtep, cest-à-dire la quantité dénergie quil a consommée pour ses activités. A ce jour, cette contribution est essentiellement liée à la production de biomasse et au développement de l'éolien sur des terres agricoles. A l'horizon 2030, la contribution des exploitations agricoles devrait être multipliée par 2, pour atteindre, en 2050, 15.8 Mtep, grâce au développement de la méthanisation, du photovoltaïque et de l'éolien notamment. Selon la méthode développée dans cette étude, en 2015, la contribution du secteur agricole à la production d'énergies renouvelables représentait un chiffre d'affaires d'1,4 milliard d'euros, soit l'équivalent de 2 % du chiffre d'affaires de l'agriculture. Le développement des énergies renouvelables permet aux agriculteurs de diversifier et de renforcer leur revenu, pour des montants pouvant aller de quelques milliers d'euros de réduction de leur facture énergétique à plus de 15 000 de revenus complémentaires. Ces chiffres sont à mettre en perspective avec le revenu agricole moyen en 2015 évalué à 25 400 pour l'ensemble des filières. L'étude a identifié plus d'une cinquantaine de modèles possibles offrant aux agriculteurs des opportunités selon leur filière, leur contexte pédo-climatique, leur niveau d'implication dans la gouvernance des projets, d'investissements financiers, de temps de travail, de risques et d'acceptabilité sociale. Compte tenu des perspectives, l'ADEME recommande le renforcement d'une animation locale axée sur la fourniture de conseils techniques, administratifs et financiers, ainsi qu'un accompagnement au montage de projets.
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Installation solaire thermique pour un élevage laitier à Saint-Ganton
Éleveur de vaches laitières en agriculture biologique, en Ille-et-Vilaine, Olivier Laurent a fait installer 7,5 m² de panneaux solaires thermiques sur la toiture de sa salle de traite. Pour ce faire, il a bénéficié d'une aide financière de la direction régionale Bretagne de l'ADEME, dans le cadre du Fonds Chaleur. Cette installation lui permet de couvrir 64 % de ses besoins annuels en eau chaude sanitaire (nettoyage de la salle de traite, nettoyage du tank à lait, hygiène lors de la traite, allaitement des veaux...), soit une économie de 2500 kWh/an, mais aussi de gagner en autonomie. Installée en 2016, l'installation devrait être rentabilisée en une dizaine d'années. Olivier Laurent a, par ailleurs, investi dans un pré-refroidisseur de lait et réfléchit à l'installation de panneaux photovoltaïques pour la production d'électricité.
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Les avis de l'ADEME : Alimentation - Les circuits courts de proximité
Les circuits courts alimentaires de proximité répondent aujourd'hui à des attentes sur les plans économique et social que ce soit pour : le producteur (sécurisation de son modèle économique, reconnaissance du métier), le consommateur (« juste prix », qualité, quête de sens), le territoire (création d'emplois locaux, économie sociale et solidaire, lien social). En termes dimpact sur lenvironnement, la diversité de ces circuits ne permet pas daffirmer quils présentent systématiquement un meilleur bilan environnemental que les circuits « longs », notamment en matière de consommation dénergie et démissions de gaz à effet de serre. En effet, les modes et pratiques de production sont beaucoup plus déterminants en matière de bilan environnemental que le mode de distribution, notamment pour les fruits et légumes (culture de produits de saison...). Cependant, dès lors quils sont optimisés et sous certaines conditions, les circuits courts de proximité présentent un potentiel intéressant en termes de réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES). Dans ce document, l'ADEME fait le point sur limpact environnemental des circuits courts et met en évidence la façon dont ils contribuent à la cohérence, à la durabilité et à la vitalité des territoires lorsquils sont insérés dans des projets alimentaires territoriaux.
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Pertes et gaspillages alimentaires : L'état des lieux et leur gestion par étapes de la chaîne alimentaire - Rapport d'étude
Dans le cadre de sa mission de lutte contre le gaspillage alimentaire, l'ADEME a conduit une étude portant sur les pertes et gaspillages alimentaires et leur gestion. Cette étude propose une définition des pertes et gaspillages s'appuyant sur les débats initiés dans le cadre du PACTE et la récente Loi contre le gaspillage alimentaire ; cette définition permet d'identifier ensuite les potentiels et les sources de progrès pour l'efficacité alimentaire de demain. Létude mesure le total des pertes et gaspillages générés sur 26 filières alimentaires, représentant plus de 80 % des produits consommés en France, et à chaque étape de la chaîne alimentaire. Elle précise la valeur commerciale théorique et l'impact carbone en t/CO2 de ces produits. Cette mesure globale, de laquelle ressort la part de chaque acteur, révèle non seulement que la "responsabilité" est partagée, mais qu'il existe une interdépendance entre les acteurs. A partir de l'examen des pratiques et comportements de chaque acteur, de l'effet "engrenage" des uns par rapport aux autres, cette étude, enfin, identifie des leviers de progrès et met l'accent sur des initiatives de terrain individuelles ou collectives pouvant inspirer chacun.
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Réduire le gaspillage alimentaire en restauration collective : Guide pratique
Antoine VERNIER, Auteur ; Sophie DEBARGE, Auteur ; Evelyne PERREON-DELAMETTE, Auteur ; ET AL., Auteur | ANGERS CEDEX 01 (20 Avenue du Grésillé, BP 90406, 49 004, FRANCE) : ADEME - Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie | 2016
Destiné en priorité aux gestionnaires de la restauration collective publique, ce guide propose une méthode pour réduire le gaspillage alimentaire, et ainsi répondre aux exigences de la loi de transition énergétique pour la croissante verte qui stipule : "l'État et ses établissements publics ainsi que les collectivités territoriales mettent en place, avant le 1er septembre 2016, une démarche de lutte contre le gaspillage alimentaire au sein des services de restauration collective dont ils assurent la gestion". Issu des enseignements tirés de nombreux projets de réduction du gaspillage alimentaire dans des restaurants collectifs, ce guide présente des outils et des conseils pour : réaliser un diagnostic, une évaluation du gaspillage ; identifier les causes du gaspillage ; concevoir et mettre en uvre un plan d'actions efficace ; pérenniser les résultats obtenus. Il peut également être utile à toute personne concernée par la restauration collective, que ce soit dans le secteur public ou privé.
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Un mix électrique 100 % renouvelable ? Analyses et optimisations : Un travail d'exploration des limites du développement des énergies renouvelables dans le mix électrique métropolitain à un horizon 2050
Cette étude de l'Ademe, l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie, est une étude scientifique à caractère prospectif et exploratoire. Elle s'intéresse au possible déploiement des énergies renouvelables dans la production d'énergie d'origine électrique. Elle vise ainsi à identifier les freins et leviers politiques, techniques et économiques à mobiliser pour accompagner un développement massif de telles énergies.
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Réintégrer l'arbre dans les systèmes agricoles : Pour diversifier la production et renforcer les écosystèmes
Sur une exploitation agricole, les éléments arborés peuvent être apportés de deux manières : en bordure (haies) ou en plein champ (agroforesterie). Cette fiche présente un état des lieux des surfaces concernées en France et les perspectives de développement. Un bilan technico-économique et environnemental de ces pratiques est proposé. Les incitations à la plantation à travers les politiques nationales et européennes sont, par ailleurs, présentées. Cette fiche appartient à une série de dix fiches, éditées par l'ADEME et intitulées « Agriculture & Environnement : Des pratiques clefs pour la préservation du climat, des sols et de l'air, et les économies d'énergie ».
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Alléger l'empreinte environnementale de la consommation des Français en 2030 - Rapport de synthèse : Vers une évolution profonde des modes de production et de consommation - Résumé
Dans le but de contribuer à la réflexion sur une consommation durable, l'ADEME a réalisé un exercice de prospective, s'attachant à donner une vision à l'horizon 2030 des changements technologiques, économiques et sociaux nécessaires à la réduction de l'empreinte environnementale de la consommation des ménages français. Ce résumé présente les principales hypothèses et enseignements de ce travail.
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Carbone organique des sols : L'énergie de l'agro-écologie, une solution pour le climat
Un sol en bonne santé, vivant, équilibré et stockant du carbone, accroît le potentiel de production végétale, filtre l'eau de ses polluants, favorise la biodiversité et joue un rôle dans la lutte contre l'effet de serre. C'est ce que cette brochure, réalisée par l'ADEME avec l'appui d'experts, veut expliquer. Elle rappelle la place du carbone des sols dans l'atténuation du changement climatique, en France, en s'appuyant sur les données du GIS Sol, et présente les principaux leviers d'actions dans les secteurs agricoles et forestiers, sur la base de travaux menés par l'INRA. Un inventaire des outils d'évaluation, déclinés de la parcelle au territoire national, permet aux gestionnaires et conseillers de mieux orienter les pratiques.
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Guide méthodologique du développement des stratégies régionales d'économie circulaire en France : Rapport final
L'ADEME et l'Association des Régions de France ont réalisé ce premier guide méthodologique de l'économie circulaire. Il a vocation à aider les territoires à saisir les opportunités de croissance et d'emplois qu'offre le passage vers l'économie circulaire. En effet, la loi de transition énergétique pour la croissance verte, présentée par la ministre de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie, fait du passage à une économie circulaire l'un des principaux chantiers de la mutation de notre société. L'économie circulaire constitue ainsi l'une des priorités du prochain contrat de plan Etat Région (CPER 2015-2020). Ce guide constitue un outil d'aide à la décision pour déterminer les orientations concrètes de politiques publiques d'économie circulaire à mettre en uvre dans les différents secteurs : développement économique, politiques de l'emploi, de la formation, de l'insertion sociale, des transports, de l'aménagement du territoire. Il propose un grand nombre d'exemples de réalisations concrètes couvrant les sept piliers de l'économie circulaire : Économie de la fonctionnalité, écoconception, écologie industrielle et territoriale, allongement de la durée d'usage, consommation responsable, recyclage et valorisation des déchets, approvisionnement durable.
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Contribution de l'ADEME à l'élaboration de visions énergétiques 2030-2050 : Synthèse, 8 novembre 2012
Depuis l'année 2012, l'Ademe a mobilisé ses services techniques et économiques sur l'exercice de prospective énergétique « Vision 2030-2050 » qui est synthétisé dans ce document. Ce travail, réalisé en interne, permet à l'Agence de proposer des scénarios énergétiques et climatiques volontaristes axés sur la maîtrise de la consommation énergétique et le développement de l'offre d'énergies renouvelables. Cet exercice de prospective identifie ainsi une voie possible pour la transition énergétique en France, répondant aux enjeux environnementaux et identifiant les adaptations nécessaires de l'outil de production d'énergie français et les filières de croissance verte. Deux horizons et deux méthodologies distincts « Vision 2030 » et « Vision 2050 » sont d'abord présentés dans un tableau synthétique (méthodologie, objectif, secteurs considérés, indicateurs principaux ). Pour l'une et l'autre de ces visions énergétiques, soit deux scénarios, sont ensuite présentés : - Cadrage macroéconomique et démographique ; - Bâtiment et organisation urbaine ; - Transport et mobilité ; - Alimentation, agriculture et utilisation des sols ; - Industrie et procédés industriels ; - Bilan total de la demande énergétique ; - Production d'énergie renouvelable ; - Eléments environnementaux.
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La méthanisation à la ferme : Guide pratique : Pour les projets d'une puissance électrique inférieure à 500 kWe
AILE, Auteur ; SOLAGRO, Auteur ; ADEME, Auteur | ANGERS CEDEX 01 (20 Avenue du Grésillé, BP 90406, 49 004, FRANCE) : ADEME - Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie | 2011
Dans ce guide pratique, plusieurs aspects de la méthanisation à la ferme sont abordés : - Le principe biologique de la méthanisation ; - Une filière aux premiers stades de son développement ; - Les intérêts de la méthanisation à la ferme ; - Quelles matières pour alimenter une installation ? ; - Le process "mésophile en infiniment mélangé" ; - Les recommandations et retours d'expériences ; - Les alternatives à l'infiniment mélangé ; - Amender, fertiliser : les propriétés du digestat ; - La valorisation du biogaz et de la chaleur ; - Les perspectives pour la valorisation du biogaz ; - Point règlementaire ; - L'économie d'un projet ; - Les principales étapes d'un projet de méthanisation à la ferme.
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Réalisation d'un bilan des émissions de gaz à effet de serre : Filière agricole et agro-alimentaire : Guide sectoriel 2011
Ce guide sectoriel a pour objectif d'aider les acteurs du secteur agricole et agro-alimentaire, qui émettent des gaz à effet de serre (GES) au travers de leurs différents processus, dans la réalisation de diagnostics des émissions de gaz à effet de serre de leur organisation (enjeux, évolution du contexte normatif et réglementaire, national et international... ; contexte de réalisation d'un bilan GES, périmètre à retenir, réalisation du bilan GES, actions de réduction ). L'agriculture a un rôle à jouer dans les variations de stock de carbone dans les sols (captage de gaz à effet de serre au travers du stockage du carbone dans les sols). A ce jour, seules les entreprises soumises à la directive européenne n° 2003/87/CE relative au système d'échanges de quotas de CO2, ainsi que les entreprises publiant leurs émissions dans le cadre de GEREP (déclaration annuelle des rejets) doivent déclarer certaines de leurs émissions directes des GES. Le Plan National d'Allocation de Quotas (PNAQ) définit la liste des entreprises concernées par PNAQ 2008-2012 (installations de combustion supérieures à 20 MW). 142 sites d'entreprises agro-alimentaires appartenant à divers sous-secteurs sont concernés (1562 en fabrication de produits amylacés, 1 583 en fabrication de sucre ). Le guide s'adresse aux exploitants agricoles et conseillers agricoles des Chambres d'agriculture, des organismes interprofessionnels et autres organismes en charge de l'agriculture ; aux entreprises réalisant des opérations d'approvisionnement et de fourniture de services aux exploitants agricoles, ainsi que de collecte et de stockage des produits agricoles (achetés aux exploitants), comme les coopératives et les négociants ; aux entreprises de l'agro-alimentaire et de l'alimentation animale.
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Utilisation rationnelle de l'énergie pour le séchage des grains et des fourrages : Situation technico-économique du parc de séchoirs existant et leviers d'actions actuels et futurs : Rapport final : Séchage des fourrages
Le secteur agricole consomme environ 2,5 % de la consommation totale d'énergie française. Lors du Grenelle de l'environnement, l'objectif d'atteindre un taux de 30 % d'exploitations à faible dépendance énergétique en 2013 a été fixé. Cette étude, commandée par l'ADEME, a été réalisée afin d'identifier les leviers d'actions possibles pour limiter l'énergie utilisée pour les séchoirs. En ce qui concerne les fourrages, la technique du séchage, en vrac ou en balles rondes, permet d'obtenir un stock de fourrages récoltés de qualité proche de celle de l'herbe pâturée, et notamment de conserver une part importante de légumineuses. L'étude a permis de recenser 2000 à 3000 séchoirs en vrac et 150 à 200 séchoirs de balles rondes en France, avec une consommation moyenne de 150 GWh/an. Les leviers d'actions proposés pour réduire cette consommation concernent, d'une part, les pratiques et l'entretien et, d'autre part, l'outil de production (technologies et équipement du séchoir).
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Utilisation rationnelle de l'énergie pour le séchage des grains et des fourrages : Situation technico-économique du parc de séchoirs existant et leviers d'actions actuels et futurs : Rapport final : Séchage des grains et semences
Le secteur agricole consomme environ 2,5 % de la consommation totale d'énergie française. Lors du Grenelle de l'environnement, l'objectif d'atteindre un taux de 30 % d'exploitations à faible dépendance énergétique en 2013 a été fixé. Cette étude, commandée par l'ADEME, a été réalisée afin d'identifier les leviers d'actions possibles pour limiter l'énergie utilisée pour les séchoirs. En ce qui concerne les grains et semences, la France possède un parc de séchoirs important qui permet d'agir dès la moisson. Ces installations, dont 80 % appartiennent à des organismes de récolte et de stockage et 20 % directement à des agriculteurs, ont en moyenne 25 ans, la technique n'ayant pas évolué depuis les années 70-80. Elles consomment en moyenne 240 ktep (kilotonne d'équivalent pétrole) par an. Les leviers d'actions proposés dans cette étude pour réduire cette consommation d'énergie concernent quatre catégories : - le suivi et l'analyse des consommations énergétiques ; - la formation et l'information ; - les modifications techniques ; - les travaux de recherche et développement.
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Analyses de Cycle de Vie appliquées aux biocarburants de première génération consommés en France : Synthèse
L'étude qui analyse l'impact des agrocarburants sur le changement climatique et sur l'efficacité énergétique, comprend plusieurs documents : le rapport de Bio IS (cabinet Bio Intelligence Service), une "revue critique", réalisée par un consultant indépendant, un cahier de recueil des observations finales des membres du comité technique - ministère de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Pêche / ministère de l'Ecologie, de l'Energie, du Développement Durable et de l'Aménagement du territoire / ADEME / FranceAgriMer. La synthèse qui constitue le document présenté est organisée comme suit : - 1. Contexte, objectif et organisation de l'étude ; 2. Principaux choix méthodologiques de l'ACV ; 3. Les limites de l'étude ; 4. Présentation et analyse des résultats ; 5. Conclusion. La totalité du document (400 p.) et les analyses critiques sont accessibles sur le lien : http://agriculture.gouv.fr/sections/publications/rapports/analyses-cycle-vie/.
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Economies d'énergie sur l'exploitation agricole
De multiples raisons, d'ordre économique, climatique ou réglementaire, poussent les agriculteurs à s'engager vers davantage de performance énergétique. Les consommations d'énergies directes (fioul, gaz, électricité...) et indirectes (intrants, aliments, matériels...) constituent une part importante du coût de production en agriculture. Dans un objectif de maîtrise des charges, l'exploitant a donc intérêt à modifier son équipement ou sa méthode de travail. Cette démarche lui permettra à moyen et long termes d'assurer la pérennité de son exploitation. Mais comment s'y prendre ? L'objectif de ce livre est de rassembler, dans un seul ouvrage, l'ensemble des données disponibles sur le sujet. Pour chaque production, sont décrites les caractéristiques des consommations, ainsi que les actions pratiques de réduction. De nombreux exemples et témoignages illustrent le propos.
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La vie cachée des sols
Cette brochure a pour objet d'alerter le grand public sur les enjeux environnementaux et économiques liés à la biodiversité du sol. Pédagogique et illustrée, elle définit tout d'abord la diversité des organismes vivants du sol. Puis elle explique l'importance fonctionnelle de cette vie (structure et fertilité du sol, décomposition de la matière organique, protection des cultures, régulation du cycle de l'eau, lutte contre l'érosion, décontamination des eaux et des sols, santé humaine, ). Malheureusement, malgré l'importance de sa valeur économique, des menaces pèsent sur la biodiversité du sol. Quelques exemples d'actions à mettre en uvre pour la préserver sont présentés. Enfin, une astuce pour observer la vie du sol de son jardin est proposée.
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Journée technique - 2 octobre 2008 - APCA : Analyse du cycle de vie des produits agricoles
La journée sur l'analyse du cycle de vie (ACV) des produits agricoles, qui s'est tenue le 2 octobre 2008, a été organisée à l'occasion de la restitution d'une synthèse bibliographique commanditée par l'ADEME - Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie, en partenariat avec le ministère de l'Agriculture et de la Pêche, le ministère de l'Ecologie, de l'Energie, du Développement Durable et de l'Aménagement du Territoire, l'APCA, l'INRA et Ecointesys Life Cycle Systems. L'étude a porté sur l'état des connaissances de l'utilisation des ACV sur 17 productions agricoles, soient des productions animales (viande bovine, ovine, porc, volaille, oeufs, poisson, lait), soient des productions végétales (blé, orge, maïs, riz, seigle, salade, tomate, carotte, raisin, pomme). La méthode de l'analyse du cycle de vie semble s'imposer pour évaluer les impacts environnementaux des productions agricoles, engager des démarches de progrès dans les filières... et pose des questions sur sa mise en oeuvre, l'interprétation des résultats et leurs utilisations.... Ce CD-Rom, qui a été réalisé pour faire suite à la journée du 2 octobre 2008, est constitué comme suit : - L'Etude (la synthèse : revue bibliographique des études "Analyse de cycle de vie des produits agricoles", les 17 fiches produits, la bibliographie de l'étude ACV ; - La Journée (le programme de la journée, le compte-rendu, les powerpoint) ; - Note de positionnement Ademe (analyse des impacts environnementaux des productions agricoles et de l'impact des ACV : contexte de l'analyse, des fortes demandes d'information, analyse bibliographique des ACV, analyse des résultats, perspectives).
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Pourquoi, comment : Développer les énergies renouvelables à la ferme
D. FALAISE, Auteur ; JM. LUSSON, Auteur ; A. TREVISIOL, Auteur | CESSON-SEVIGNE CEDEX (Pôle INPACT Bretagne, 17 Rue du Bas Village - CS 37 725, 35 577, FRANCE) : RESEAU AGRICULTURE DURABLE | 2009Cette publication "Développer les énergies renouvelables à la ferme", éditée par le Réseau Agriculture Durable, en partenariat avec l'Ademe, présente la problématique des énergies renouvelables : - Les défis énergétique, alimentaire, climatique ; - Les énergies "offertes" (les énergies renouvelables à la ferme : énergie solaire photovoltaïque, énergie de la biomasse, énergie éolienne) ; - Les bonnes questions à se poser. Huit fiches-témoignages d'agriculteurs complètent le document, présentant, pour chaque initiative de développement d'une énergie renouvelable à la ferme, l'installation, ses coûts, la démarche : - Forêt paysanne et bois-énergie ; - Réinventer l'eau chaude avec le solaire et le bois ; - Produire de l'électricité avec le photovoltaïque amorphe ; - Produire de l'électricité avec du photovoltaïque multicristallin ; - Le séchage solaire en grange des fourrages ; - Le fumier de ferme, source de chaleur et d'électricité ; - Méthaniser le lisier avec d'autres déchets ; - Une petite éolienne raccordée au réseau.
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Adème délégation Auvergne : Bilan d'activité 2006
Le dossier s'attache à présenter, en matière de maîtrise de l'énergie et de protection de l'environnement, les chiffres clé des investissements engagés par la Région Auvergne (budget engagé, répartition des dossiers, ressources extérieures mobilisées, montant global des opérations aidées), puis fait une présentation des actions mises en oeuvre par les entreprises dans le domaine de la recherche ; de l'implication des collectivités ; des actions d'information auprès de tout public. Enfin, quatre fiches sont consacrées à des installations effectives et à leur bilan : - Le tramway de Clermont-Ferrand "roule solaire" ; - Le soleil "crèche(s)" à Clermont-Ferrand ; - Les diodes éclairent "les voies du Seigneur" (commune de Creuzier-le-Vieux dans l'Allier) ; - Un réseau de chaleur bois au pays d'Ambert.
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"Baromètre du reporting sur l'éco performance des bâtiments"
Responsables de 40% des émissions de gaz à effet de serre et de 40% de la consommation énergétique, les bâtiments ont une question cruciale à résoudre : leur performance énergétique. C'est pour cela que Novethic, en partenariat avec l'ADEME, a réalisé le premier baromètre du reporting que font, sur ce sujet, les 24 entreprises appartenant au SBF 120 et référencées comme ayant des activités dans l'immobilier. Elles sont classées en 4 catégories : Investisseurs, Promoteurs, Constructeurs et fabricants de matériaux de construction, Gestionnaires de parcs immobiliers importants. Le Baromètre a été établi sur la base des documents disponibles fin 2006 (les rapports annuels et de développement durable, les sites Internet et les documents qu'ils contiennent). Il porte sur les informations fournies par le reporting des entreprises concernant la performance énergétique des bâtiments qu'elles financent, achètent, construisent, vendent, louent ou utilisent, et compte quatre niveaux de performance sur la qualité de ces données.
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"Construire durable" : une question d'énergie et de financement ? : Synthèse
Détails d'une étude relative aux enjeux du développement durable sur l'immobilier. L'étude recense de façon pédagogique les grands enjeux d'un immobilier durable, détaille les résultats de son enquête (auprès d'entreprises et de parties prenantes) en terme de perception des enjeux mais aussi de performances atteintes et enfin trace les grandes lignes d'un "Investissement socialement responsable immobilier" en émergence.
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Dossier de presse : Programme de maîtrise de l'énergie à l'île de Sein
Située au large de la Pointe du Raz, l'île de Sein n'est pas raccordée au continent pour son alimentation électrique. La Région Bretagne, l'ADEME et EDF se sont associées pour fournir à 100 foyers sénans volontaires des ampoules basse consommation, des réfrigérateurs de classe A+, des économiseurs d'eau pour réduire l'activité électrique de l'unité de désalinisation qui alimente l'île en eau potable... et ainsi maîtriser leur consommation d'énergie.
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Energie dans les exploitations agricoles : Etat des lieux en Europe et éléments de réflexion pour la France : Synthèse du rapport final
La présente étude s'inscrit dans le prolongement de l'étude menée en 2005 (le ministère de l'agriculture et de la pêche avait confié à Solagro une étude consacrée à l'autonomie énergétique des exploitations agricoles françaises), intégrant cette fois la dimension européenne dans le contexte du renchérissement des prix du pétrole et de la lutte contre le changement climatique, les économies d'énergie et le développement des énergies renouvelables prennent de l'importance. Au sein de l'Europe, la situation est différente d'un pays à l'autre et dépend des caractéristiques de l'agriculture et des types de production agricole, des particularités de la consommation énergétique, de la sensibilité aux questions environnementales... Les pays de l'Europe du nord (Allemagne, Autriche, Norvège, Hollande) sont plus avancés que les pays de l'Europe du Sud (Espagne, Italie, France, Grèce). L'étude analyse les politiques publiques mises en oeuvre dans l'UE et plus particulièrement dans quatre pays européens à travers des actions en Allemagne, Belgique, Espagne et Royaume-Uni.
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Photovoltaïque intégré au bâti : Quelques exemples
Des fiches présentent des exemples de réalisations photovoltaïques intégrées au bâti dans le collectif et dans des maisons individuelles. Chacune rassemble un descriptif, des photos, les caractéristiques techniques de la réalisation et les contacts nécessaires.
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AGRICE 2005 : Rapport d'activité 2005
Ce document est le rapport d'activité d'AGRICE, le programme national de soutien à la recherche sur les bioproduits.
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Des bioressources à l'industrie
Ce rapport d'activité retrace l'ensemble des actions et projets menés par l'AGRICE (agriculture pour la chimie et l'énergie) en 2004. Ce groupement scientifique rattaché à l'ADEME a pour but de développer l'utilisation des matières premières renouvelables d'origine agricole pour la fabrication de bioproduits dans les domaines de l'énergie, de la chimie et des matériaux.
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L'énergie en Alsace de 2000 à 2020 : chiffres et perspectives
Ce document fait un bilan des dépenses énergétiques en Alsace et montre les différentes possibilités envisagées pour répondre aux problèmes de maîtrise de l'énergie et déboucher sur une valorisation des ressources d'énergie locales.
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Séchage solaire des fourrages en grange : une solution alternative pour une agriculture durable
Présentation de la technique de séchage solaire des fourrages en grange. Principes, techniques, installations nécessaires, coûts de mise en place et aides disponibles.
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Les boues d'épuration municipales et leur utilisation en agriculture
Le présent dossier est conçu pour permettre à chacun d'avoir accès à l'ensemble des connaissances actuelles. Le caractère dense du contenu de ce document reflète la complexité du sujet. Sont abordés successivement : - les techniques d'assainissement et d'épuration mises en oeuvre, - la nature des sous-produits dont les boues d'épuration, - la réalité des pratiques d'épandage en France et en Europe, - les risques potentiels et leur maîtrise effective, - la réglementation, - les données économiques, - les alternatives possibles. Des fiches, numérotées selon les chapitres et signalées par des renvois, apportent aussi souvent que possible les informations chiffrées disponibles ou les commentaires complémentaires permettant d'éclairer la réflexion sur le sujet.
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Pour une meilleure gestion des matières organiques : 15 ans d'expérimentation dans les établissements d'enseignement agricole public
La diversité des exploitations des établissements, chacune insérée dans son territoire, contribue à une multiplicité de matières organiques : des déjections animales (fumiers, lisiers...) aux déchets de l'activité agricole (maraîchage et horticulture par exemple) ou sous produits de la transformation ou des collectivités (boues d'épuration, déchets verts, déchets d'abattoirs...). L'évolution de l'agriculture et des relations avec la société a nécessité la mise en oeuvre d'une meilleure gestion des matières organiques à l'échelle de l'exploitation. L'expérimentation de la valorisation sur cultures des matières organiques a toujours été une action forte des exploitations, quelles que soient les productions (céréales et oléo-protéagineux, prairies, mais aussi vignes), contribuant ainsi à l'amélioration des connaissances des processus de nutrition des plantes.
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Tensioactifs et oléagineux : Etude sur les matières premières oléagineuses disponibles sur le marché européen
Les tensioactifs sont des molécules utilisées dans de nombreuses industries et sont également présents dans les formulations de consommation courante telles que les détergents, les cosmétiques... La production mondiale de tensioactifs représentait, en 2001, 11 millions de tonnes dont 20% d'origine végétale. L'utilisation de ressources végétales dans l'industrie se développe et est motivée par le caractère renouvelable de ces produits. Ce document fait un état des lieux de la filière en Europe. Un supplément répertorie les principaux fournisseurs de ces matières premières en Europe.
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Ecotoxicologie des sols et des déchets : enjeux réglementaires, normalisation et recherches
Recueil des interventions du Séminaire National qui s'est tenu à Paris en décembre 1998. Il permet de faire le point, après quatre années de recherches sur l'écotoxicologie des sols et des déchets, sur les résultats engrangés mais également sur les orientations à donner aux recherches à venir.
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Méthodes de caractérisation de l'écotoxicité des sols et des déchets
L'Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie a mis en place un programme dont l'objectif est de mettre au point des méthodes pour caractériser l'écotoxicité des sols et des déchets. Ces outils s'inscrivent dans le cadre des réglementations liées à la réhabilitation des sites pollués et à la gestion des déchets. Une vingtaine de laboratoires a participé à ce programme. Leurs résultats sont présentés sous forme synthétique.
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Suivi d'une unité de compostage de déchets verts
L'application bien comprise de quelques principes de base du compostage permet de traiter efficacement et rapidement les déchets verts quelle que soit la période de l'année. Une démarche soignée et vigilante permet en outre de produire, sans difficulté particulière, divers types de compost adaptés à la demande des utilisateurs et d'une qualité régulière. Afin d'aider les exploitants de plate-formes de compostage, un protocole de suivi du traitement et de la production de compost a été établi. Il est présenté sous la forme d'un classeur pratique composé de 3 partie : un rappel du processus de compostage, une description des opérations de suivi et de contrôle et 25 fiches facilitant le suivi concret des paramètres biologiques et techniques.
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Le compostage de déchets légumiers
Suivi scientifique et technique de la plate-forme de Bagé-le-Châtel (01). Description de l'unité de compostage. Matériels et méthodes. Résultats et discussion du suivi de trois mélanges. Bilan général, conclusions et perspectives.
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Le compostage des déchets verts - Guide technique régional
Il est maintenant bien établi que toute valorisation nécessite au préalable un tri à la source afin d'écarter les fractions indésirables. Le compostage des déchets verts répond à cette logique. La "matière première" récupérée est ainsi de bonne qualité et le compost obtenu répond désormais aux normes en vigueur sur les amendements organiques grâce à des méthodes de production bien maîtrisées. Le compostage des déchets verts, bénéfique pour l'environnement, offre un débouché à une quantité importante de déchets organiques qui encombrent encore trop souvent les décharges ou les unités d'incinération. Ce guide a pour but d'informer les élus et techniciens des avantages de cette solution et des conditions de sa mise en oeuvre pour son succès économique en Basse-Normandie.
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La faune, indicateur de la qualité des sols
Une liste critique des paramètres biologiques utilisés dans certains travaux pour indiquer l'impact des polluants sur la qualité des sols a été établie. Ces paramètres font référence à un ou plusieurs invertébrés du sol. Globalement, les acariens, les collemboles, les enchytréides, les vers de terre, les isopodes et les gastéropodes peuvent être utilisés à différents titres en tant qu'indicateur biologique. Ce sont des indicateurs de bioaccumulation ou d'effets (toxicologiques et écologiques).
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Le compostage de déchets verts en milieu rural
En milieu rural, les flux de déchets verts sont faibles et dispersés. L'objet de l'étude est d'examiner les facteurs intervenant dans le choix d'un schéma de gestion des déchets verts à l'échelle d'un territoire rural et de comparer deux options pour le compostage des déchets : l'une centralisée, l'autre décentralisée. Les deux options, techniquement envisageables, ne présentent pas de différence discriminante du point de vue des coûts d'exploitation. Mais elles diffèrent par : l'organisation, le mode d'utilisation du compost et leur impact sur l'emploi.